La ligne jaune
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La ligne jaune
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# Chantal
LECTURE TERMINÉE
LECTURE TERMINÉE
SERVICE PRESSE
Titre : La ligne jaune
Auteur : Baptiste Chapuis
Éditeur : Librinova
Genre :Roman autobiographique
Date de publication : 14 janvier 2019
Format numérique , 216 pages
Dans ma mémoire il y a un trou à cet endroit, une pièce noire, un néant creusé par une année d'agonie. Quelque chose dans mon histoire est resté figé là, sur le bord de la route ; mais pour la première fois depuis des mois, je me sentis apaisé, comme si le monde marquait enfin une vraie pause. Ce vécu m'a amené à ressentir une incapacité complète à être vraiment heureux ou malheureux. Depuis cette aventure, donc depuis des années, qu'il pleuve ou qu'il vente, je me tiens immobile comme une pierre. En restant le témoin d'une vie qui défilait sous mes yeux comme un long fleuve tranquille, j'ai tiré un trait sur le temps et le monde, afin d'oublier ma propre existence, pour transcender la réalité elle-même. Ce qui m'effraie, je l'avoue, c'est que je suis encore jeune, et parfois, il me semble que ma vraie vie n'a pas encore débuté, ou bien qu'elle est déjà terminée. » Un retour aux sources de l'auteur, pour cette expédition dans le monde de la maladie. À travers ce récit, il nous emmène avec lui dans sa treizième année de vie ; une année qui va lui dérober son innocence.
Note : 12/20
Avis :
Je remercie l’auteur et la maison d’édition pour ce service presse.
Nous commençons par connaître l’histoire de la famille de l’auteur et cela commence réellement l’année de ses 13 ans. Il y a son père, sa mère ainsi son grand frère Maxime 16 ans.
Il y a plusieurs parties dans ce livre et on comprendra d’où vient le titre.
La première partie : La vie.
«Écrire, c’est aussi ne pas parler. C’est se taire. C’est hurler sans bruit» (Marguerite Duras, Écrire)
En 2005, l’année de ses 13 ans, découvre que son père est très malade.
On ressent l’amour de cette famille, l’admiration d’un fils envers son père, la mère a une force incroyable, une vraie lionne.
Peut-on reprocher à un gamin de 13 ans d’avoir manqué de courage face à la maladie de son père ? Non c’est difficile à tous les âges de ne pouvoir rien faire, d’être impuissant.
La deuxième partie : La mort
«Parler de ses peines, c’est déjà se consoler»
Quand le père décède, le monde de Baptiste bascule.
On découvre une famille de sang ou de cœurs soudés dans la joie comme dans le chagrin et la douleur.
J’ai bien aimé voir évoluer ce petit gamin qui a grandi trop vite mais malheureusement j’ai vite abandonné.
L’auteur a ajouté ses avis tranchés sur la société actuelle qui a gâché ma lecture.
Pourquoi avoir faits cela, je ne comprends pas ce que cela amène à l’histoire ?
C’est dommage car on ressent tout l’amour et la peine de cette famille face à la perte.
Tant qu'il y a de la vie, il y a de l'espoir.
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