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Top 10 les meilleurs films de vengeance

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Message par Alouqua Jeu 3 Mar - 11:41

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LA DERNIERE MAISON SUR LA GAUCHE

Avec Week-end sauvage, de William Fuet ; Viol et châtiment, de Lamont Johnson ; L'ange de la vengeance, de Abel Ferrara ; et Thriller - en grym film, de Bo Arne Vibenius, La dernière maison sur la gauche demeure l'une des références majeures du genre. Dans le même sillage, il faut mentionner I spit on your grave, de Meir Zarchi dont l'ambition se résume à filmer la plus longue scène de viol au cinéma (pas moins de vingt minutes) en donnant plus d'importance au spectaculaire qu'à la réalité issue du fait-divers (Zarchi fut témoin dans les années 70 du viol d'une femme par deux loubards). Au cinéma, soulignons que c'est la première fois - soit deux ans avant Massacre à la tronçonneuse - qu'un personnage utilise une tronçonneuse comme arme pour se protéger d'un ennemi. En l'occurrence, un père de famille qui venge son enfant massacré. Excellent remake de Dennis Illiadis.

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MR. 45

L'ange de la vengeance est peut-être l'une des oeuvres de Abel Ferrara les moins estimées et les plus rares. C'est pourtant sa première vraie réussite. Après un film pornographique improbable (The Nine Lives of a Wet Pussy) et un trip horrifique attachant mais à la lisière de l'amateurisme (Driller Killer), le cinéaste halluciné révèle dans ce long métrage les thématiques de ses prochains films (sexe, violence, religion) en plongeant dans les bas-fonds new-yorkais avec un style néoréaliste trash qui, en son temps, fit mouche. William Friedkin en est tellement tombé amoureux qu'il a poussé la Warner à le distribuer.

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IRREVERSIBLE

Le moins que l'on puisse dire, c'est que le travail de Gaspar Noé dérange et suscite à chaque fois des réactions extrêmes. On se souvient encore du bordel à Cannes en 2002 avec Irréversible et ses 9 minutes de viol Monica-Belluccien en live qui avaient fait fuir tous les festivaliers présents ce soir-là. Fin de la projo dans les sifflets et les applaudissements. Sortie du film dans l'Hexagone, une presse très controversée comme si Noé les avait martyrisés. Seulement, à force d'amplifier le phénomène, les spectateurs se font au fil du temps rendu compte de la valeur du film qui n'a évidemment rien d'un vomitif qui gerbe sur le monde mais tout d'un très grand film qui célèbre l'amour et la vie. Avec ses moments les plus extatiques et les plus douloureux. C'est simple, juste et beau. Il faut dire aussi qu'Irréversible reposait sur l'astuce marketing maligne et un peu poussive selon laquelle il fallait quitter le film au bout d'une demi-heure. Erreur : c'était précisément la chose à ne pas faire tant le film repose sur deux blocs diamétralement opposés qui, d'une certaine façon, se correspondent. Irréversible, c'est certes une terrifiante histoire de vengeance qui démontre l'absurdité de la loi du talion (qu'on se le dise, point d'apologie de l'auto-défense) mais aussi et surtout une immense histoire d'amour, tellement inacceptable que certains ont refusé de l'admettre. Tant pis pour eux..

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LES NERFS A VIF

Robert Mitchum fut probablement le plus grand " bad guy " de l'histoire du cinéma. On se souvient de lui dans le rôle du pasteur croque-mitaine de la légendaire Nuit du chasseur de Charles Laughton. Quant à Gregory Peck, nul n'a mieux que lui incarné les hommes intègres, les modèles masculins, les pères de famille sur qui on se repose, une force morale à l'honnêteté à toute épreuve. En choisissant de faire le remake du grand classique Les Nerfs à vif de Jack Lee Thompson, Scorsese se devait d'être à la hauteur de ces deux grandes figures et aussi de ce très bon scénario qui laissait monter graduellement la tension et était un modèle de thriller. Il ne s'agit pourtant pas d'un " copier-coller " mais d'un bel hommage. Parce qu'il s'agit d'un autre film du " monstre sacré à deux têtes " Scorsese/ De Niro. Dans la filmographie du réalisateur, ses collaborations avec l'acteur ont toujours une résonnance particulière. Et De Niro était le seul à pouvoir atteindre le degré de folie de Mitchum, le seul et probablement l'un des derniers à pouvoir atteindre un jeu fascinant et expressionniste sans flirter avec le ridicule des méchants trop marqués

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BULLY

L'intérêt que Larry Clark porte aux adolescents, et plus particulièrement à ceux en marge de la société, n'est pas une chose nouvelle. Dans Bully (2001), de jeunes Américains délinquants exécutent un de leurs semblables et dissimulent maladroitement les preuves du meurtre. Clark parvient à rendre tout le malaise d'une génération plus palpable et crédible que jamais. Juste traumatisant. A ne pas mettre devant tous les yeux

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UNE JOURNEE BIEN REMPLIE

Un boulanger père de famille décide de tuer dans la journée, les neuf jurés responsables de la condamnation à mort de son fils. Il part en side-car accompagnée de sa maman pour exécuter sa mission vengeresse...A travers ce film de vengeance classique, Jean-Louis Trintignant, cinéaste trop rare, propose une oeuvre assez dérangeante, teintée d'un humour noir s'inspirant de la comédie anglo-saxonne. Pas ou peu de dialogue, des allusions au western spaghetti (Et Pour Quelques Dollars de Plus) et un ton résolument à part : de quoi regretter que Trintignant n'ait réalisé que si peu de films

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COUP DE TETE

Personnage revanchard, le héros de Coup de tête n'est pas seulement la mouche dans le lait d'une satire sociale de la bourgeoisie en avance sur son temps, mais aussi le résultat de l'accouplement Annaud/Dewaere au sens propre comme au figuré. Revirement de situation, le film gagne l'Oscar du meilleur film étranger, à la grande stupeur du cinéaste qui à la seconde même se voit offrir un pont d'or par ceux qui l'avaient rejeté. Un coup de tête qui ressemble plus à un coup de boule, pour ne pas dire un bras d'honneur aux institutions diverses du métier ayant tourné le dos à deux vrais talents aujourd'hui portés aux nues, le film de Jean Jacques Annaud s'avère être la biographie détournée de sa propre histoire

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JOSEY WALES

Après L'Homme des hautes plaines (1972), où il reprenait l'image de l'homme sans nom, le cowboy muant en vengeur fantomatique, presque surnaturel (nature que l'on retrouvera dans Pale Rider), Clint Eastwood a pris l'un de ses plus grands risques avec Josey Wales, Hors la loi (1976), pendant la fin de la guerre de Sécession, un homme voyait sa famille massacrée sous ses yeux. Pendant son errance belliqueuse, il rencontre un vieil indien. Incarné avec subtilité par Chef Dan George (le grand père de Little Big Man), le vieil indien cherokee ensuite (admirable Chief Dan George, le " grand père " de Little Big Man) est présenté pour une fois de manière humoristique et très humaine, à l'inverse de l'image un peu trop solennelle et caricaturale que l'on a souvent eue de ce peuple au cinéma. John Wayne a reproché au réalisateur (non sans raison), de démystifier et de dévoyer la légende de l'Ouest - en somme de le traduire. Orson Welles a tout simplement évoqué ce film comme son western préféré. Eastwood le considère comme son sommet avec Impitoyable.

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KILL BILL

2003 : explosions de geysers et délice de cinéphile dans les salles de cinéma. Un mariage en plein désert : un commando fait irruption dans la chapelle, massacre des mariés et leurs invités et disparaît, laissant pour morte la Mariée et l'enfant qu'elle porte. Après quatre ans de coma, la Mariée se lance à la poursuite des assassins, membres du gang de Bill au sein duquel elle-même exerça autrefois ses talents de tueuse. Redevenue la redoutable Black Mamba du Détachement International des Vipères Assassines, la Mariée n'a plus qu'une obsession : Kill Bill. La grande question que pose le film est la suivante : "est-ce que vous avez déjà vécu une expérience orgasmique au cinéma ?" Si ça n'a jamais été le cas, alors Kill Bill, le quatrième long-métrage de Quentin Tarantino a dû bousculer votre parcours de cinéphile. Additionnés l'un à l'autre, les deux épisodes se correspondent magistralement même s'ils reposent sur des ambitions et des modes différents. Le premier apparaît plus comme une bande-annonce BD hystérique à hurler de rire qui pose les bases d'une cruelle histoire de vengeance et les personnages qui vont la pimenter (O Ren Ishii, Elle, Budd, Vernita et Bill). En réalité, il mettait en lumière les enjeux dramatiques à venir et stimulait l'imagination tout en offrant une bonne part du gâteau. Le second, plus posé, moins trash, répond ainsi aux frustrations des spectateurs les plus sourcilleux qui ont trouvés que Kill Bill premier du nom manquait de substance et semblait tirer un trait sur les dialogues tarantinesques.

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OLD BOY

Louvoyant entre la vie et la mort, une quête rédemptrice et une vengeance manipulatoire, Old boy, troisième long-métrage virtuose de Chan Wook-Park, possède la densité d'un drame Shakespearien à la sauce coréenne et triture allégrement clichés et conventions du polar avec une classe visuelle inouïe. Après Joint Security Area, sombre affaire policière qui masque une superbe histoire d'amitié; et Sympathy for Mr Vengeance, horrible déclinaison sur la loi du Talion qui autopsie l'être humain sous son jour le plus sombre, ce deuxième opus du cycle sur la vengeance (le troisième sera Sympathy for Lady Vengeance) est une sorte de jeu du chat et de la souris pervers, mystérieux, ténébreux, angoissant, retors
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