Londres la ténébreuse T2 : La bête de l'ombre

Synopsis

À Whitechapel, où règnent en maître les membres de l’Échelon, qui pourrait soupçonner la charmante Lena Todd de quelconque traîtrise envers les siens ? Pourtant, en secret, elle a embrassé la cause humaniste, espérant défier les redoutables sangs bleus qui gouvernent Londres. Mais alors qu’elle est en possession d’un billet confidentiel et d’une extrême importance, qu’on lui a récemment remis, elle se fait démasquer par Will Carver. Le loup-garou au terrible passé. Celui que chacun surnomme la Bête et qu’elle désire au plus profond d’elle-même... Et si la menace ne venait pas que des sangs bleus ? Et si Lena devait-t-elle se méfier de son amour pour Will ?

Mon avis

J'adoooooore le personnage de Will  mais c'est une vraie tête à claque ! En faite, les deux sont des tête à claques. En mode "je l'aime mais elle/il m'a repoussé donc non je dois  taire mes sentiments, mais il/elle m'attire....". GRRR !! Si je pouvais rentrer dans le bouquin, je les secoueraient tous les deux ! C'est le deuxième livre que je lis où j'ai une énorme frustration car ils s'aiment, mais ils sont sûr que l'autre ne l'aime pas, alors que non. Le plus frustrant c'est le moment bisou ! Pour moi c'est un peu le moment qui officialise le fait que les deux héros vont être ensemble. Le moment sexe c'est pas grave, mais le moment bisou c'est le plus sacré. Alors tous les moments où c'est possible d'avoir un bisou ... et ben nan, c'est y a rien !! Faut attendre les dernier chapitres  
En dehors de leur belle romance, on apprend beaucoup plus sur le passé sombre de Will et sur le nouveau mode de vie de Lena. On commence à peux près deux ans après la fin du tome précédent, je l'ai pas compris tout de suite donc j'ai eu du mal à me dire que Léna est passé de l'adolescente un peu frivole à une jeune femme sûr d'elle. Mais en dehors de ça, j'ai adoré l'intrigue et l'atmosphère moins sombre que le premier tome mais beaucoup plus oppressant. La plume de Bec McMaster est vraiment magnifique, dans chaque passage je ressens la détresse de Léna, la possessivité de Will ... L'univers est vraiment prenant.