Viol, ce crime particulier
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Viol, ce crime particulier
#Chantal
LECTURE TERMINÉE
SERVICE PRESSE
Titre : Viol, ce crime particulier
Auteur : Émilie K
Éditeur : Édition Écho
Genre : Témoignage
Sortie le 8 Mars 2019
Format numérique.
Résumé :
« J'avais tout juste vingt-trois ans au moment des faits.
J'ai pris soin de rapporter les éléments d'un point de vue affectif car, dans ce genre d'affaire, on est sans doute plus blessé dans son âme que dans son corps.
Même si j'ai tenté d'être la plus juste possible dans la retranscription de mon histoire, il se peut que certaines informations soient incorrectes, déformées par le prisme des souvenirs. »
Note : 18/20
Avis :
Je remercie l'auteure et les éditions Écho pour se service presse.
En préface Anne-Sophie Martin, chroniqueuse judiciaire
Commentaires et postface du Dr Bernard Marc, médecin légiste.
La couverture est parlante, tout est dis.
Ce livre m'a prise aux tripes que j'ai du mal à mettre mes mots pour expliquer mon ressenti.
Émilie livre son histoire fracassé, sans jamais céder au sordide ni au pathos, elle a osé briser le silence.
Cette histoire commence en 2007, l'année du chaos comme le dis Émilie, elle a perdu ses 2 grand-mère autant dire que cela avait mal commencer et ne va pas s'arranger bien au contraire, elle a 23 ans au moments des faits et à certains moments elle se sent plus comme un «objet sexuel ou poupée de chiffon» mais comme «un bout de viande à disséquer» quand elle parle de l'examen médico-légal.
«L'examen médico-légal est capital pour l'établissement de la vérité et l'apport des preuves dans une agression sexuelle, c'est une agression à l'intime c'est à dire au plus profond, au plus personnel de la victime».
On apprend qu'elle n'est pas la seule victime mais plutôt 20 femmes victime du même monstre.
A chaque moment de son histoire, nous avons les commentaires du Dr Marc qui nous permet de comprendre le pourquoi de certaines démarches et processus.
Je ne vais pas détailler cette histoire, je ne la décrirais pas à sa juste valeur.
Un viol est une arme de destruction massive ou la ou les victimes n'en sortent pas indemne, leurs souffrances est invisibles.
Ce livre témoignage est difficile à lire, on prend en pleine figure tout les sentiments d’Émilie. La peur face à son agresseur ensuite face à la police, le dégoût d'elle-même, la dépression, sa perte de confiance et les «et si..» (si j'avais fais ceci, si j'avais fais cela...).
Il y a toute une éducation à faire dès le plus jeune âge et leurs apprendre le respect et que quand une femme ou un homme dis NON c'est NON et que l'on dispose pas du corps comme on le souhaite sans en subir les conséquences.
La culpabilité est horrible, se sentir responsable de s’être fais violer mais le plus important est d'être reconnu comme victime pour pouvoir espérer guérir.
Une victime peut recommencer sa vie mais elle n'oubliera jamais.
Toutes ces femmes ont fais preuve du plus grand des courages : PORTER PLAINTE, ce que certaines d'entre nous, n'ont pas su faire....
«La vérité fait souffrir, mais la souffrance fait grandir».
Je vous donne la description légal d'un viol :
«Tout acte de pénétration sexuelle, de quelque nature qu'il soit, commis sur la personne d'autrui, par violence, contrainte, menace ou surprise, est un viol.»
Article L.222-23 du Code Pénal.
«1 femme sur 8 ou 10, ose porter plainte».
«Fin 2010, 3 associations de femmes estiment que 75 000 femmes sont violées chaque année en France :
LECTURE TERMINÉE
SERVICE PRESSE
Titre : Viol, ce crime particulier
Auteur : Émilie K
Éditeur : Édition Écho
Genre : Témoignage
Sortie le 8 Mars 2019
Format numérique.
Résumé :
« J'avais tout juste vingt-trois ans au moment des faits.
J'ai pris soin de rapporter les éléments d'un point de vue affectif car, dans ce genre d'affaire, on est sans doute plus blessé dans son âme que dans son corps.
Même si j'ai tenté d'être la plus juste possible dans la retranscription de mon histoire, il se peut que certaines informations soient incorrectes, déformées par le prisme des souvenirs. »
Note : 18/20
Avis :
Je remercie l'auteure et les éditions Écho pour se service presse.
En préface Anne-Sophie Martin, chroniqueuse judiciaire
Commentaires et postface du Dr Bernard Marc, médecin légiste.
La couverture est parlante, tout est dis.
Ce livre m'a prise aux tripes que j'ai du mal à mettre mes mots pour expliquer mon ressenti.
Émilie livre son histoire fracassé, sans jamais céder au sordide ni au pathos, elle a osé briser le silence.
Cette histoire commence en 2007, l'année du chaos comme le dis Émilie, elle a perdu ses 2 grand-mère autant dire que cela avait mal commencer et ne va pas s'arranger bien au contraire, elle a 23 ans au moments des faits et à certains moments elle se sent plus comme un «objet sexuel ou poupée de chiffon» mais comme «un bout de viande à disséquer» quand elle parle de l'examen médico-légal.
«L'examen médico-légal est capital pour l'établissement de la vérité et l'apport des preuves dans une agression sexuelle, c'est une agression à l'intime c'est à dire au plus profond, au plus personnel de la victime».
On apprend qu'elle n'est pas la seule victime mais plutôt 20 femmes victime du même monstre.
A chaque moment de son histoire, nous avons les commentaires du Dr Marc qui nous permet de comprendre le pourquoi de certaines démarches et processus.
Je ne vais pas détailler cette histoire, je ne la décrirais pas à sa juste valeur.
Un viol est une arme de destruction massive ou la ou les victimes n'en sortent pas indemne, leurs souffrances est invisibles.
Ce livre témoignage est difficile à lire, on prend en pleine figure tout les sentiments d’Émilie. La peur face à son agresseur ensuite face à la police, le dégoût d'elle-même, la dépression, sa perte de confiance et les «et si..» (si j'avais fais ceci, si j'avais fais cela...).
Il y a toute une éducation à faire dès le plus jeune âge et leurs apprendre le respect et que quand une femme ou un homme dis NON c'est NON et que l'on dispose pas du corps comme on le souhaite sans en subir les conséquences.
La culpabilité est horrible, se sentir responsable de s’être fais violer mais le plus important est d'être reconnu comme victime pour pouvoir espérer guérir.
Une victime peut recommencer sa vie mais elle n'oubliera jamais.
Toutes ces femmes ont fais preuve du plus grand des courages : PORTER PLAINTE, ce que certaines d'entre nous, n'ont pas su faire....
«La vérité fait souffrir, mais la souffrance fait grandir».
Je vous donne la description légal d'un viol :
«Tout acte de pénétration sexuelle, de quelque nature qu'il soit, commis sur la personne d'autrui, par violence, contrainte, menace ou surprise, est un viol.»
Article L.222-23 du Code Pénal.
«1 femme sur 8 ou 10, ose porter plainte».
«Fin 2010, 3 associations de femmes estiment que 75 000 femmes sont violées chaque année en France :
- C'est 200 viols par jour.
- 1 femme victime de viol toutes les 7 minutes !»
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