Réécrire les étoiles
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Réécrire les étoiles
LECTURE TERMINÉE
SERVICE PRESSE
Titre Réécrire les étoiles
Auteure : Amélia Varin
Edition : Auto-édition
Format numérique.
Lien d'achat :
Résumé :
Elle était différente. Et ça a suffi. Elle était différente. Et c'est ce qui l'a tuée. Moi j'étais là. Amie. Amoureuse. Spectatrice. J'étais là à me demander ce que je pouvais faire, sans jamais agir. Juste là. Comme une ombre, attendant patiemment dans le noir... Et si j'avais cessé d'attendre ? Et si j'avais réagi ? Emma... Emma... Et si on pouvait réécrire les étoiles ?
Note : 19/20
Avis :
Je remercie l'auteure pour ce service presse
Quand j’ai vu la couverture, je n’avais qu’une envie le lire et j’en ressors ému.
Le prologue, nous met directement dans l’ambiance, une ambiance étouffante de douleurs par son vécu.
Emma est une jeune fille de 18 ans, en dernière année de lycée, elle adore l’astronomie.
Ce qu’elle aime dans la nuit, c’est la plénitude et ce sentiment obsédant de ne pas exister. Dans ces moments-là, elle ne se sent ni muette ni différente. Elle se sent à la fois victime que coupable.
Elle se demande si ce n‘est pas un peu sa faute, la rendant coupable d’un crime dont elle est la victime ?
Justine est une jeune fille plutôt transparente, inexistante et cela lui convient parfaitement.
Monsieur Stanislas, professeur de maths et professeur principale. Lors de la rentrée, il présente Emma, cela la rend malade et elle vomi et s’enfuie du lycée.
En italique, nous avons les pensées d’Emma et en chaque début de chapitres.
Justine rencontre Emma, le premier jour et sera charger de lui fournir les cours qu’Emma a manqué.
Emma se fais du mal physiquement, elle ne veut plus sentir rien d’autre que la douleur.
Justine va plusieurs jours consécutifs devant chez Emma dans l’espoir de la voir. Elle entre chez Emma et vois le visage d’Emma, la douleur et de la détresse et se demande pourquoi elle se fait du mal. Justine est touchante dans sa démarche, rempli d’empathie quand elle prend Emma dans ses bras quand celle-ci pleure. Ensuite elles réussissent à se parler dans le silence.
Deux semaines après son retour au lycée, les brimades n’ont pas cesser au contraire, allant toujours plus loin dans la cruauté. Après avoir vu Justine se faire taper par Hélène, Emma lui donne un baiser et un mot mystérieux.
Après les remerciements, nous avons une playlist.
Maintenant je vais vous donner mon avis.
Cette histoire que l’on pense légère par rapport à son titre mais pas du tout.
Je me suis beaucoup attacher à Emma, j’aurais voulu lui en venir en aide, la consoler, la prendre dans mes bras pour lui dire que tout aller s’arranger. Elle m’a ému car malgré tout, elle gardait toujours le sourire.
C’est un livre criant de vérité et malheureusement d’actualité. Comme le dis si bien l’auteure dans le livre.
A quel point peut-on souffrir ?
A quel point peut-on vouloir que cesse la douleur ?
A quel point peut-on vouloir disparaître ?
Sommes-nous à ce point aveugle pour ne pas voir leurs souffrance ? Ce livre devrait être lu par des adolescents pour qu’ils comprennent le mal qu’ils peuvent faire.
SERVICE PRESSE
Titre Réécrire les étoiles
Auteure : Amélia Varin
Edition : Auto-édition
Format numérique.
Lien d'achat :
Résumé :
Elle était différente. Et ça a suffi. Elle était différente. Et c'est ce qui l'a tuée. Moi j'étais là. Amie. Amoureuse. Spectatrice. J'étais là à me demander ce que je pouvais faire, sans jamais agir. Juste là. Comme une ombre, attendant patiemment dans le noir... Et si j'avais cessé d'attendre ? Et si j'avais réagi ? Emma... Emma... Et si on pouvait réécrire les étoiles ?
Note : 19/20
Avis :
Je remercie l'auteure pour ce service presse
Quand j’ai vu la couverture, je n’avais qu’une envie le lire et j’en ressors ému.
Le prologue, nous met directement dans l’ambiance, une ambiance étouffante de douleurs par son vécu.
Emma est une jeune fille de 18 ans, en dernière année de lycée, elle adore l’astronomie.
Ce qu’elle aime dans la nuit, c’est la plénitude et ce sentiment obsédant de ne pas exister. Dans ces moments-là, elle ne se sent ni muette ni différente. Elle se sent à la fois victime que coupable.
Elle se demande si ce n‘est pas un peu sa faute, la rendant coupable d’un crime dont elle est la victime ?
Justine est une jeune fille plutôt transparente, inexistante et cela lui convient parfaitement.
Monsieur Stanislas, professeur de maths et professeur principale. Lors de la rentrée, il présente Emma, cela la rend malade et elle vomi et s’enfuie du lycée.
En italique, nous avons les pensées d’Emma et en chaque début de chapitres.
Justine rencontre Emma, le premier jour et sera charger de lui fournir les cours qu’Emma a manqué.
Emma se fais du mal physiquement, elle ne veut plus sentir rien d’autre que la douleur.
Justine va plusieurs jours consécutifs devant chez Emma dans l’espoir de la voir. Elle entre chez Emma et vois le visage d’Emma, la douleur et de la détresse et se demande pourquoi elle se fait du mal. Justine est touchante dans sa démarche, rempli d’empathie quand elle prend Emma dans ses bras quand celle-ci pleure. Ensuite elles réussissent à se parler dans le silence.
Deux semaines après son retour au lycée, les brimades n’ont pas cesser au contraire, allant toujours plus loin dans la cruauté. Après avoir vu Justine se faire taper par Hélène, Emma lui donne un baiser et un mot mystérieux.
Après les remerciements, nous avons une playlist.
Maintenant je vais vous donner mon avis.
Cette histoire que l’on pense légère par rapport à son titre mais pas du tout.
Je me suis beaucoup attacher à Emma, j’aurais voulu lui en venir en aide, la consoler, la prendre dans mes bras pour lui dire que tout aller s’arranger. Elle m’a ému car malgré tout, elle gardait toujours le sourire.
C’est un livre criant de vérité et malheureusement d’actualité. Comme le dis si bien l’auteure dans le livre.
A quel point peut-on souffrir ?
A quel point peut-on vouloir que cesse la douleur ?
A quel point peut-on vouloir disparaître ?
Sommes-nous à ce point aveugle pour ne pas voir leurs souffrance ? Ce livre devrait être lu par des adolescents pour qu’ils comprennent le mal qu’ils peuvent faire.
Tant qu'il y a de la vie, il y a de l'espoir.
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