De chair et de larmes
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De chair et de larmes
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Résumé :
Après un divorce douloureux et un séjour en hôpital psychiatrique, Claire quitte Paris pour reprendre la ferme familiale. Sans soutien ni expérience, elle comprend vite que ce nouveau départ sera moins facile que prévu.
Elle cherche un maigre réconfort auprès de Lucien, un militant végétalien, qui lui confie des poulets arrachés à un centre de recherche pour qu’elle les cache. Il la persuade même de participer aux actions radicales et dangereuses de son groupe d’activistes. L’équilibre déjà fragile de Claire se retrouve ébranlé par l’agressivité des hommes et des animaux.
Avis :
Je remercie l’autrice pour l’envoie de ce service presse.
Claire est une femme sous traitement après son divorce et un séjour en psychiatrie, elle a quitté Paris et laissé son appartement en location. Avec l’accord de son frère Sébastien, elle va vivre dans la ferme familiale. Elle aura comme compagnie Peluche son chien, un Shih Tzu. Ses voisins sont Gérard qu’elle a connu jeune et aura une histoire avec Lucien.
Claire est une femme Végan mais qui pour sa santé doit manger parfois des protéines animales. Avec Lucien, elle participera à un raid avec des amis activistes : le Front végétalien qui libèrent les poules élevées en batteries. Quand elle récupère un poulet, les ennuis vont alors commencer.
Claire souffre d’une petite dépression et d’une autre santé mentale dont on ne sait rien, ce que je trouve dommage. Elle est sujette à des angoisses et des hallucinations. Son frère Sébastien veut l’aider mais il l’infantilise, la belle-sœur est exécrable.
Je trouve l’histoire intéressante sur :
- La souffrance animale,
- La surconsommation,
- Qu’il est préférable d’adopté un animal plutôt que l’acheté.
- La maladie mentale.
- Les relations familiales toxique.
Mais je me pose la question, est-ce que Claire n’aurait pas tout inventer ? J’ai eu du mal à entré dans l’histoire mais après cela se lis très vite.
Le petit bémol, le seul d’ailleurs : les chapitres sont longs, à mon avis. Entre 11 et 13 pages.
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Résumé :
Après un divorce douloureux et un séjour en hôpital psychiatrique, Claire quitte Paris pour reprendre la ferme familiale. Sans soutien ni expérience, elle comprend vite que ce nouveau départ sera moins facile que prévu.
Elle cherche un maigre réconfort auprès de Lucien, un militant végétalien, qui lui confie des poulets arrachés à un centre de recherche pour qu’elle les cache. Il la persuade même de participer aux actions radicales et dangereuses de son groupe d’activistes. L’équilibre déjà fragile de Claire se retrouve ébranlé par l’agressivité des hommes et des animaux.
Avis :
Je remercie l’autrice pour l’envoie de ce service presse.
Attention, certains passages sont gores.
Claire est une femme sous traitement après son divorce et un séjour en psychiatrie, elle a quitté Paris et laissé son appartement en location. Avec l’accord de son frère Sébastien, elle va vivre dans la ferme familiale. Elle aura comme compagnie Peluche son chien, un Shih Tzu. Ses voisins sont Gérard qu’elle a connu jeune et aura une histoire avec Lucien.
Claire est une femme Végan mais qui pour sa santé doit manger parfois des protéines animales. Avec Lucien, elle participera à un raid avec des amis activistes : le Front végétalien qui libèrent les poules élevées en batteries. Quand elle récupère un poulet, les ennuis vont alors commencer.
Claire souffre d’une petite dépression et d’une autre santé mentale dont on ne sait rien, ce que je trouve dommage. Elle est sujette à des angoisses et des hallucinations. Son frère Sébastien veut l’aider mais il l’infantilise, la belle-sœur est exécrable.
« Ne pas réfléchir, ne pas m’apitoyer, agir »
Je trouve l’histoire intéressante sur :
- La souffrance animale,
- La surconsommation,
- Qu’il est préférable d’adopté un animal plutôt que l’acheté.
- La maladie mentale.
- Les relations familiales toxique.
Mais je me pose la question, est-ce que Claire n’aurait pas tout inventer ? J’ai eu du mal à entré dans l’histoire mais après cela se lis très vite.
Le petit bémol, le seul d’ailleurs : les chapitres sont longs, à mon avis. Entre 11 et 13 pages.
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Tant qu'il y a de la vie, il y a de l'espoir.
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