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Résumé :
Découvrir son autisme à 38 ans.. Une révélation en résolution d'énigme dont la solution était sous les yeux depuis le début. Une révélation qui a ouvert la voie à une introspection et a permis à Ange Lise de revisiter sa vie à la lueur d'Asperger, pour éclairer les zones d'ombre et adoucir les aspérités de jugements. Asperger résonne en réconciliation avec elle-même, en évidence à accepter pour avancer.
Ange Lise a construit ce livre comme un puzzle où chaque pièce en souvenir avait son importance pour nourrir des pistes d'analyse flirtant avec une dissection à vif. L'auteure a essayé, elle qui d'habitude se cache derrière mille pseudonymes ou personnages, de jouer la carte d’une sincérité sans fard. Une mise à nu nécessaire pour aller plus loin dans une réflexion effritant un concept de normalité en miettes face au kaléidoscope des individualités qui finissent par se rejoindre dans un joyeux maelström collectif de diversité.
Journaliste depuis plus de vingt ans dans le domaine de la santé et de la culture, Ange Lise écrit en fourmi qui accumule les manuscrits dans les tiroirs, en boulimique qui savoure les mots comme des gâteaux, en naufragée qui compte bien construire un radeau avec ses lignes pour éviter de se noyer trop vite.
Avis :
Je remercie la maison d’édition pour l’envoie de ce service presse.
Nous avons dans ce roman :
- Une préface de la psychologue Maud Gourtay-Saussaye spécialisée dans les TCC.
- Un avant-propos
Ce roman à été écrit en 2016 mais les maisons d’éditions n’ont pas forcément envie de publier ce genre de livre car elle entre dans aucune case.
Lorsque son frère se suicide à 44 ans, cela pousse à écrire son histoire. Il était lui-même Asperger. Mais à l’auteure il lui aura fallu 38 ans pour poser le mot : Syndrome d’Asperger qui fût une évidence.
Nous allons la suivre au fil des années avec une enfance chaotique. Elle a su lire à 3 ans mais garde une écriture d’une enfant de 5 ans. Quand elle annonce être Asperger, il y a plusieurs réactions entre autres les extrêmes : le rejet et/ou trop d’empathie. Les gens les prennent pour des fou furieux ou des attardés bon à enfermer.
Elle est passée par plusieurs stades : la culpabilité, l’acceptation et finir par trouver l’équilibre mais le chemin fût long et laborieux. Elle a parfois besoin de se couper du monde, d’être dans sa bulle hermétique, dans cette grotte qu’elle s’est construite.
L’autrice est hypersensible aux sons, elle ne tolère que son chat dans son lit, elle pratique jusqu’à 8 heures de méditations par jour. La danse lui a permis de se réapproprier son corps et le rééduquer et rectifié sa démarche. La musique à un rôle hypnotique qui la rassure et l’apaise.
Elle reçoit les émotions différemment, sois trop sois pas du tout.
Un autiste est dans le non-jugement, ils ont un sens de la justice hautement développé, mais peuvent se montrer extrêmement naïfs.
Ce roman parle de l’autisme au féminin pour avoir plus de visibilité. L’auteure parle de son histoire avec beaucoup de douceur avec un pointe d’humour. J’ai apprécié en apprendre plus sur ce qui est approprié de faire ou ne pas faire avec une personne ayant de l’autisme.
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Résumé :
Découvrir son autisme à 38 ans.. Une révélation en résolution d'énigme dont la solution était sous les yeux depuis le début. Une révélation qui a ouvert la voie à une introspection et a permis à Ange Lise de revisiter sa vie à la lueur d'Asperger, pour éclairer les zones d'ombre et adoucir les aspérités de jugements. Asperger résonne en réconciliation avec elle-même, en évidence à accepter pour avancer.
Ange Lise a construit ce livre comme un puzzle où chaque pièce en souvenir avait son importance pour nourrir des pistes d'analyse flirtant avec une dissection à vif. L'auteure a essayé, elle qui d'habitude se cache derrière mille pseudonymes ou personnages, de jouer la carte d’une sincérité sans fard. Une mise à nu nécessaire pour aller plus loin dans une réflexion effritant un concept de normalité en miettes face au kaléidoscope des individualités qui finissent par se rejoindre dans un joyeux maelström collectif de diversité.
Journaliste depuis plus de vingt ans dans le domaine de la santé et de la culture, Ange Lise écrit en fourmi qui accumule les manuscrits dans les tiroirs, en boulimique qui savoure les mots comme des gâteaux, en naufragée qui compte bien construire un radeau avec ses lignes pour éviter de se noyer trop vite.
Avis :
Je remercie la maison d’édition pour l’envoie de ce service presse.
« L’autisme demeure un monde vaste et peu connu »
Nous avons dans ce roman :
- Une préface de la psychologue Maud Gourtay-Saussaye spécialisée dans les TCC.
- Un avant-propos
Ce roman à été écrit en 2016 mais les maisons d’éditions n’ont pas forcément envie de publier ce genre de livre car elle entre dans aucune case.
« Je ne suis pas une Asperger qui écrit, mais une auteure qui est Asperger »
Lorsque son frère se suicide à 44 ans, cela pousse à écrire son histoire. Il était lui-même Asperger. Mais à l’auteure il lui aura fallu 38 ans pour poser le mot : Syndrome d’Asperger qui fût une évidence.
Nous allons la suivre au fil des années avec une enfance chaotique. Elle a su lire à 3 ans mais garde une écriture d’une enfant de 5 ans. Quand elle annonce être Asperger, il y a plusieurs réactions entre autres les extrêmes : le rejet et/ou trop d’empathie. Les gens les prennent pour des fou furieux ou des attardés bon à enfermer.
Elle est passée par plusieurs stades : la culpabilité, l’acceptation et finir par trouver l’équilibre mais le chemin fût long et laborieux. Elle a parfois besoin de se couper du monde, d’être dans sa bulle hermétique, dans cette grotte qu’elle s’est construite.
L’autrice est hypersensible aux sons, elle ne tolère que son chat dans son lit, elle pratique jusqu’à 8 heures de méditations par jour. La danse lui a permis de se réapproprier son corps et le rééduquer et rectifié sa démarche. La musique à un rôle hypnotique qui la rassure et l’apaise.
Elle reçoit les émotions différemment, sois trop sois pas du tout.
« Un arc-en-ciel d’émotions sur une terre aride de sentiments »
Un autiste est dans le non-jugement, ils ont un sens de la justice hautement développé, mais peuvent se montrer extrêmement naïfs.
Ce roman parle de l’autisme au féminin pour avoir plus de visibilité. L’auteure parle de son histoire avec beaucoup de douceur avec un pointe d’humour. J’ai apprécié en apprendre plus sur ce qui est approprié de faire ou ne pas faire avec une personne ayant de l’autisme.
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Tant qu'il y a de la vie, il y a de l'espoir.
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