concours "frères de sang"
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concours "frères de sang"
En partenariat avec Delphine Maeder auteur de "frères de sang" nous proposons notre premier concours avec pour gain un livre dédicacé personnalisé au vainqueur. Pour concourir, il suffit de poster sur le forum dans la partie indiquée un poème, ou un court texte (Format world ,5000 caractères interlignes 1.5 et en times new roman) avec pour thème le sang.
date limite du concours le 15 décembre afin de pouvoir faire parvenir au vainqueur le livre pour noël
date limite du concours le 15 décembre afin de pouvoir faire parvenir au vainqueur le livre pour noël
Dernière édition par Tigrou le Jeu 18 Nov - 14:42, édité 1 fois
Si Bite Me te plait n'hésite pas à faire circuler
Re: concours "frères de sang"
De mon corps émanaient des effluves de peur mais aussi d’excitation. Sa tête brune c’est penchée sur moi, ses doigts se sont déployés sur mon cou pour me maintenir immobile. J’ai croisé ses yeux noirs et un regard glacial comme le givre d’un matin d’hiver. Lorsque ses crocs se sont enfoncés dans ma nuque, j’ai senti une chaleur m’envahir toute entière. J’ai poussé un cri et un frisson m’a parcouru, la chaleur s’est concentré sur mon bas ventre. Il avait la bouche maculée de sang et ma faim à sa vue m’attira. J’en voulais encore plus. Ses pupilles rouges étaient dilatées en me regardant ; Il exhibait ses crocs dégoulinant de sang ; Il m’attira à lui et ses lèvres se sont scellées aux miennes. J’ai senti sa langue et ses crocs découvrir ma bouche. Ce liquide chaud et succulent couler dans ma gorge, m’enivre de plaisir interdit. Le sang appel le sang mon ange ténébreux, tu es mien pour l’éternité.
Dernière édition par Sandra la Dragonne le Ven 19 Nov - 8:56, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: concours "frères de sang"
[b]Le baisé mortel
Du premier au dernier couché du soleil dans l’ombre du monde.
Damné dans l’oubli. Une ombre furtive au ciel étoilé.
Mon visage est celui de la lune, mon corps est de pierre, mon âme est ténébreuse.
La nuit est mon royaume du silence et de puissance.
Un baisé de sang pour un mortel, le lien de la continuité pour un être de l’obscurité.
Trônant au sommet du règne alimentaire, petites proies tremblées, nous boirons à la coupe de la vie pour l’immortalité.
Une morsure, un baisé, le cycle de l’infini coule dans vos veines. Plaisir immaculé et pêché vital. Une goutte de sang pour une rivière de vie.
Viens à moi douce volupté que je puisse te croquer à pleine dents.
Laisse-moi boire à ta veine, jolie petite mienne.
Réponds à mon appel.
Fluide éternel.[/b]
Re: concours "frères de sang"
Bon je suis pas une pro comme la plupart d'entre vous, mais j'espère que vous apprécierez.
Bonne lecture
Je le sens mais ne peux le toucher,
Il réchauffe mon cœur avec puissance
Et caresse mes veines lors de ses passages dilués
Je ne ressens pas sa présence
Mais il s’insinue dans mon corps,
Et à petit feu, il me dévore
En s’installant avec influence dans mes zones de plaisir,
Mais ce n’est pas le pire.
Il accélère au rythme de ma respiration
Et se propage jusqu’aux tréfonds de mon âme,
Jusqu’à ce que je sente la pointe de sa lame,
Il n’est plus qu’illusions et sensations.
Lorsqu’il relâche la pression brusquement,
Je ne ressens que plaisir et assouvissement,
Me sentir esclave de ses désirs est si grisant,
Et pourtant si effrayant.
Je ne le connais pas, mais je l’aime déjà,
Tout ce que je sais, c’est que c’est lui qui influx la vie et le plaisir en moi.
Cet inconnu si envoûtant,
Mon Sang.
Bonne lecture
Je le sens mais ne peux le toucher,
Il réchauffe mon cœur avec puissance
Et caresse mes veines lors de ses passages dilués
Je ne ressens pas sa présence
Mais il s’insinue dans mon corps,
Et à petit feu, il me dévore
En s’installant avec influence dans mes zones de plaisir,
Mais ce n’est pas le pire.
Il accélère au rythme de ma respiration
Et se propage jusqu’aux tréfonds de mon âme,
Jusqu’à ce que je sente la pointe de sa lame,
Il n’est plus qu’illusions et sensations.
Lorsqu’il relâche la pression brusquement,
Je ne ressens que plaisir et assouvissement,
Me sentir esclave de ses désirs est si grisant,
Et pourtant si effrayant.
Je ne le connais pas, mais je l’aime déjà,
Tout ce que je sais, c’est que c’est lui qui influx la vie et le plaisir en moi.
Cet inconnu si envoûtant,
Mon Sang.
Invité- Invité
Re: concours "frères de sang"
Vous avez deux heures pour traiter le sujet suivant : Est-ce que ma vie me plait ?
Je dirais que ca dépend du point de vue où l’on se place.
C’est vrai qu’il est difficile de se plaindre quand vous êtes immortelle, enfin sauf si un fou armé d’un pieu décide de m’embrocher ou de me faire griller au soleil, j’ai pris perpétuité sans conditionnelle. Oui, vous avez bien entendu : je suis immortelle. Plus précisément un vampire. Alors quand vous pouvez rester jeune, belle et en bonne santé pendant une éternité, comment ne pas aimer sa vie ? Et bien je dirais que derrière toute bonne chose se trouve un revers de médaille !
Je vais commencer par vous énumérer les points positifs (pour pas qu’on puisse croire que je suis en pleine dépression !).
Prenons la jeunesse permanente ! Le must du must ! Aucune ride ne s’invite sur mon visage, ni tâche sur mes mains, pas de peau qui se flétrie, pas de poitrine qui tombe … Le bonheur en somme ! Tiens ça me fait penser que je me suis bien marrée quand j’ai aperçu d’anciennes connaissances à la librairie du coin. Ces mégères se sont couvertes de rides et l’une d’entre elle a tellement fait de chirurgie esthétique, que je me suis demandée si elle n’allait pas se fissurer en riant. Bon je vous l’accorde, ce n’est pas très fairplay de ma part.
Parlons de l’éternité maintenant. En ce qui me concerne, j’ai décidé d’occuper une partie de celle-ci à la découverte. J’apprends tous les jours et me cultive un max, c’est la raison de ma présence dans ce cours du soir. J’adore approfondir mes connaissances et explorer de nouveaux univers. C’est magique !
L’avantage d’être un vampire c’est de ne plus avoir de contraintes ! Finis les boulots inintéressants, les impôts à payer et les dettes insurmontables. Vive la liberté ! Enfin tout est relatif car quand j’ai signé pour devenir un être de la nuit on ne m’avait pas prévenue que je deviendrai une junkie ! Une accro au sang ! Bien sûr je savais qu’il représentait un besoin vital pour nous autres mais de là à devenir une obsession ! Je bois sang, vis sang, dors sang, pense sang ! Je me suis même retrouvée dans de drôles de situations pour m’en procurer. Comme cette fois où ce loup-garou, si hum … bon je ne vais pas entrer dans les détails car je vais être censurée. Et pas qu’une fois si vous voyez ce que je veux dire. Au moins on peut dire que les rencontres que j’ai faites sont … délicieuses. Garous, incubes, métamorphes j’en passe et des meilleurs ! Je suis devenue une bête de sexe.
Il est temps de s’attaquer aux points négatifs. Ben tiens en reprenant l’histoire du sang et des supers rencontres on peut dire que maintenant tout ce qui est diners gastronomiques, couchers de soleil sur la plage avec un apollon, parties de bronzette, c’est terminé. Oui j’ai contracté une allergie immuable au soleil ! Pfff c’est trop injuste ! Je dois me contenter de mon teint albâtre. Et finit les flans à l’ail sinon je me consume de l’intérieur. En plus d’être mauvais pour l’haleine, l’ail a un effet … comment dire … assainissant.
Passons aux choses sérieuses et stoppons nos enfantillages. Alors oui le soleil me manque tout comme la bonne nourriture mais je crois que ce n’est pas le pire. Ce qui me fait le plus souffrir dans ma nouvelle vie c’est … la solitude !
Voilà l’ironie du sort : vous avez l’éternité devant vous mais vous êtes condamné à la vivre seul. C’est un mal profond qui vous ronge sans baisser d’intensité. Les premiers temps c’est marrant, vous vous éclatez : plus personne pour vous dicter votre conduite, plus de souci à se faire. Mais ca ne dure qu’un temps. Et puis vous voyez les personnes à qui vous tenez le plus vieillir, être malade, vivre tout simplement. Vous vous retrouvez du jour au lendemain sans visages familiers. Vous vous réveillez seul dans votre cercueil (à l’exception des fois où un beau mâle surnaturel est allongé à coté de vous), impossible de s’attacher plus que ça aux mortels qui se rendent rapidement compte que vous êtes différent, vous existez seul, vous souffrez seul …
C’est amusant de constater que l’on désire toujours ce que l’on ne possède pas. Alors est-ce que ma vie plait ? Je répondrai que ca dépend des jours. Si vous souhaitez un avis global je vous affirmerai sans hésitation que non !
Que celui qui a décrété qu’être un vampire c’était cool soit maudit ! Ou alors qu’il vienne par ici que je le morde !
D’ailleurs en parlant de mordre j’en connais un que j’aimerai bien croquer. Vous voyez cet homme à l’autre bout de la pièce, le beau brun qui me jette des petits regards incandescents depuis une bonne demi-heure. Au final je ne vais peut-être pas me retrouver seule ce soir …
Oh je m’égare là ! A force de vous raconter tous mes problèmes je n’ai pas vu que l’horloge tournait et qu’il ne me restait plus qu’une heure vingt neuf pour m’inventer une vie un peu moins … sanglante.
Je dirais que ca dépend du point de vue où l’on se place.
C’est vrai qu’il est difficile de se plaindre quand vous êtes immortelle, enfin sauf si un fou armé d’un pieu décide de m’embrocher ou de me faire griller au soleil, j’ai pris perpétuité sans conditionnelle. Oui, vous avez bien entendu : je suis immortelle. Plus précisément un vampire. Alors quand vous pouvez rester jeune, belle et en bonne santé pendant une éternité, comment ne pas aimer sa vie ? Et bien je dirais que derrière toute bonne chose se trouve un revers de médaille !
Je vais commencer par vous énumérer les points positifs (pour pas qu’on puisse croire que je suis en pleine dépression !).
Prenons la jeunesse permanente ! Le must du must ! Aucune ride ne s’invite sur mon visage, ni tâche sur mes mains, pas de peau qui se flétrie, pas de poitrine qui tombe … Le bonheur en somme ! Tiens ça me fait penser que je me suis bien marrée quand j’ai aperçu d’anciennes connaissances à la librairie du coin. Ces mégères se sont couvertes de rides et l’une d’entre elle a tellement fait de chirurgie esthétique, que je me suis demandée si elle n’allait pas se fissurer en riant. Bon je vous l’accorde, ce n’est pas très fairplay de ma part.
Parlons de l’éternité maintenant. En ce qui me concerne, j’ai décidé d’occuper une partie de celle-ci à la découverte. J’apprends tous les jours et me cultive un max, c’est la raison de ma présence dans ce cours du soir. J’adore approfondir mes connaissances et explorer de nouveaux univers. C’est magique !
L’avantage d’être un vampire c’est de ne plus avoir de contraintes ! Finis les boulots inintéressants, les impôts à payer et les dettes insurmontables. Vive la liberté ! Enfin tout est relatif car quand j’ai signé pour devenir un être de la nuit on ne m’avait pas prévenue que je deviendrai une junkie ! Une accro au sang ! Bien sûr je savais qu’il représentait un besoin vital pour nous autres mais de là à devenir une obsession ! Je bois sang, vis sang, dors sang, pense sang ! Je me suis même retrouvée dans de drôles de situations pour m’en procurer. Comme cette fois où ce loup-garou, si hum … bon je ne vais pas entrer dans les détails car je vais être censurée. Et pas qu’une fois si vous voyez ce que je veux dire. Au moins on peut dire que les rencontres que j’ai faites sont … délicieuses. Garous, incubes, métamorphes j’en passe et des meilleurs ! Je suis devenue une bête de sexe.
Il est temps de s’attaquer aux points négatifs. Ben tiens en reprenant l’histoire du sang et des supers rencontres on peut dire que maintenant tout ce qui est diners gastronomiques, couchers de soleil sur la plage avec un apollon, parties de bronzette, c’est terminé. Oui j’ai contracté une allergie immuable au soleil ! Pfff c’est trop injuste ! Je dois me contenter de mon teint albâtre. Et finit les flans à l’ail sinon je me consume de l’intérieur. En plus d’être mauvais pour l’haleine, l’ail a un effet … comment dire … assainissant.
Passons aux choses sérieuses et stoppons nos enfantillages. Alors oui le soleil me manque tout comme la bonne nourriture mais je crois que ce n’est pas le pire. Ce qui me fait le plus souffrir dans ma nouvelle vie c’est … la solitude !
Voilà l’ironie du sort : vous avez l’éternité devant vous mais vous êtes condamné à la vivre seul. C’est un mal profond qui vous ronge sans baisser d’intensité. Les premiers temps c’est marrant, vous vous éclatez : plus personne pour vous dicter votre conduite, plus de souci à se faire. Mais ca ne dure qu’un temps. Et puis vous voyez les personnes à qui vous tenez le plus vieillir, être malade, vivre tout simplement. Vous vous retrouvez du jour au lendemain sans visages familiers. Vous vous réveillez seul dans votre cercueil (à l’exception des fois où un beau mâle surnaturel est allongé à coté de vous), impossible de s’attacher plus que ça aux mortels qui se rendent rapidement compte que vous êtes différent, vous existez seul, vous souffrez seul …
C’est amusant de constater que l’on désire toujours ce que l’on ne possède pas. Alors est-ce que ma vie plait ? Je répondrai que ca dépend des jours. Si vous souhaitez un avis global je vous affirmerai sans hésitation que non !
Que celui qui a décrété qu’être un vampire c’était cool soit maudit ! Ou alors qu’il vienne par ici que je le morde !
D’ailleurs en parlant de mordre j’en connais un que j’aimerai bien croquer. Vous voyez cet homme à l’autre bout de la pièce, le beau brun qui me jette des petits regards incandescents depuis une bonne demi-heure. Au final je ne vais peut-être pas me retrouver seule ce soir …
Oh je m’égare là ! A force de vous raconter tous mes problèmes je n’ai pas vu que l’horloge tournait et qu’il ne me restait plus qu’une heure vingt neuf pour m’inventer une vie un peu moins … sanglante.
Invité- Invité
Re: concours "frères de sang"
Il faisait noir ,humide ,Je me sentais désemparée. Tout ce que je pouvais entendre tout autour de moi m'étais méconnaissable .Je pouvais exalter une odeur de rouille ,je me tâtai fébrilement, pour découvrir un épais liquide qui m'acculait ma peau de nacre ,et brusquement ,mes souvenirs me revinrent en mémoire. C'était il y a un siècle à présent. Nous étions en 1815,J'étais une jeune fille de bonne famille ,tout ce que je demandais ,m'étais offert ,Mes parents étaient des nobles de l'aristocratie sous le règne de Louis XVIII, Napoléon venait de partir pour l'île de St Hélène, et les traités étaient choses courante à Paris .Bref, je vivais consument pour l'époque, et pourtant ,je me sentais seule ,ignorant tout au sujet de l'amour, Ah, l'amour, vous ais-je raconté ma rencontre avec Maximilien ?Mon fiancé était un jeune homme de bonne famille ,très élégant et d'un naturel raffiné ,j'avais tout pour être heureuse que demander de plus ,me direz-vous ?Et bien c'est la ,que tout à commencé. A la mort de Louis XVIII,Notre pays est tombé dans le chaos le plus total ,les partisans de Charles X,se faisaient de plus en plus présent dans la capitale ,et ma famille et moi avons pris peur. Notre maison avait été réquisitionnée par les soldats pour s'en faire ,des « fiefs » de guerre ,ils se regroupaient en bandes pour pouvoir mettre des stratégies au point pour annihiler leurs ennemis .Pendant notre fuite, mes parents ont trouvé la mort ,ils avaient été capturés en voulant me protéger .Mon fiancés qui avaient réussi à nous rejoindre à temps ,les avait exterminé de sang froid ,il maniait l'épée avec une agilité déconcertante,comme si il avait fait ça toute sa vie ,il bougeait avec une grâce divine ,tout en lui était divin .A l’époque ,Je l'avais rencontré lors d'un gala de charité que mes parents avaient organisé. Toutes les jeunes filles de bonnes familles lui tournaient autour ,du moins, toutes celles en âge de se marier ,Et d'un coup d'un seul, comme si il avait entendu mes pensées ,il s'était retourné vers moi ,et m'avait sourit .Au départ ,quand il s'était approché ,je n'avais pas cru que c'était dans le but de venir papoter avec moi ,mais plus il approchait,plus je me sentais captivée ,comme si un lien nous avais unis dès le départ.Vous savez, comme un coup de foudre ,et même encore plus que ça .Un mois plus tard ,on se mariait ,toutes les conditions avaient été réunie pour en faire un événement extraordinaire .Mais revenons en à notre fuite .Maximilien les avait tous tué ,les soldats étaient étendus par terre, comme des pantins désarticulés,ils avaient la gorge tranchée pour certains ,plus de tête pour d’autres ,un vrai carnage !Je m’étais approché en état de frayeur absolue ,tétanisée de un,pour avoir perdu mes parents ,et de deux pour m’apercevoir que Maximilien été d’une cruauté sans pareil quand il s’agissait de protéger un des siens .Il changeait du tout au tout ,une vrai brute avec une soif de sang incroyable. Mesentant venir à lui ,il avait tourné la tête dans ma direction ,et j’y avais luune rage inassouvie, un désir cruel luisait dans ses yeux ,quelque chose demorbide que je n’arrivais pas à déchiffrer .Je m’étais alors évanouie dans sesbras ,tentant de tout oublier .Je m’étais réveillée avec une confusion telle,que j’avais mis du temps pour me remémorer les événements tragiques qui s’étaient déroulé un peu plus tôt dans la journée. Je m’étais retrouvée allongée dans l’obscurité la plus totale. Je me sentais mal ,j’avais des douleurs diffusent dans tout le corps ,j’en pleurais tellement s’en étais intolérable !
Quand un bruit de pas s’étaient rapproché dans ce silence formel ,j’avais été prise de panique . J’avais alors agité les bras dans tous les sens, voulant me défendre comme je le pouvais avec mes faibles moyens .j’avais voulu griffer ,mordre ,j’avais été complètement terrorisée sur le moment. Lorsque j’entendis une voix familière venir de loin ,je reconnu de suite la voix vibrante de Maximillien.Il avait donc réussi à nous mettre à l’abri .Il m’avait alors demander de ne pas bouger ,car mes blessures ,celles que j’avais reçue lors de notre rencontre avec les soldats, étaient mortels si j’avais le malheur de bouger ne fus que le petit doigt .J’avais obéis, car je tenais à la vie. Il m’avait drapée d’une couverture que nous avions pu amener lors de notre fuite et fait boire un liquide épais dont je ne me rappelais pas le gout J’avais tellement mal ,que j’aurais ingurgité n’importe quoi du moment que ça me soulageais un temps soit peu. J’avais demandé à Maximilien ou nous nous trouvions il m’avait alors répondu, qu’il avait trouvé une grotte à quelques mètres de là ou nous nous étions fait agressé .Au fur et à mesure que le temps passait ,je me sentais de mieux en mieux ,mes blessures guérissaient à vue d’œil comme me le faisait remarquer mon fiancé ,je retrouvais la forme .Il me donnais toujours cette boisson épaisse et inodore à boire, mais je m’enfichais complètement ,car je récupérais à une vitesse incroyable. C’est alors que contre tout attente passant la main dans mon cou ,je m’étais surprise à effleurer deux petits trous microscopique de la taille d’une épingle ,comme si une abeille m’y avait piqué .C’était un peu boursoufflé ,mais pas douloureux. Ca m’avais inquiété sur l’instant ,et j’en avais touché un mot à Maximillien, il m’avait alors regardé droit dans les yeux ,comme si une vérité douloureuse s’y cachait ,une vérité dont je ne voulais rien savoir .Mon fiancé m’avait alors révélé être une créature de la nuit ,qu’il m’avait donné de son sang avant bien sur, de me vider complètement du mien. J’avais sur le coup été prise d’un fou rire monstrueux ,je n’en avais pas cru un mot ,tout cela était tellement surréaliste !Mais il m’avait expliqué en détails la transformation qu’il avait voulu voir opérer sur ma personne ,j’étais alors sur le point de rendre l’âme,mais j’étais son épouse ,et en tant que telle ,je ne pouvais mourir, cela était inconcevable .Il m’avait alors mordu et vidé de mon sang ,jusqu'à la dernière goutte, et m’en avait abreuvé autant du sien qu’il le fallait pour me transformer en immortel .Son sang coulait maintenant dans mes veines à pleins régime ,ce doux nectar ,dont j’avais bu l’entièreté de mon verre à chaque fois qu’il jugeait ça nécessaire pour me remettre sur pied. Je n’avais pas protesté vu que je me sentais de mieux en mieux .Tellement mieux d’ailleurs ,que dès que j’en avais eu l’occasion ,j’avais été dans une rage tel ,que quand il m’avait annoncé la vérité sur ce qu’il m’avait fait ,ivre de vengeance ,j’en avais perdu la tête, et j’avais emprisonné son épée dans ma main et loin de se douter de ce qu’il l’attendait, je l’avais décapité .Je m’étais alors abreuvé à la source tellement aveuglé par la colère en vu des derniers événements ,que j’en avais perdu la raison ,son sang coulait en moi ,comme l’eau s’écoule dans unerivière .J’étais devenue ,moi aussi dès l’instant, une créature de la nuit.
Quand un bruit de pas s’étaient rapproché dans ce silence formel ,j’avais été prise de panique . J’avais alors agité les bras dans tous les sens, voulant me défendre comme je le pouvais avec mes faibles moyens .j’avais voulu griffer ,mordre ,j’avais été complètement terrorisée sur le moment. Lorsque j’entendis une voix familière venir de loin ,je reconnu de suite la voix vibrante de Maximillien.Il avait donc réussi à nous mettre à l’abri .Il m’avait alors demander de ne pas bouger ,car mes blessures ,celles que j’avais reçue lors de notre rencontre avec les soldats, étaient mortels si j’avais le malheur de bouger ne fus que le petit doigt .J’avais obéis, car je tenais à la vie. Il m’avait drapée d’une couverture que nous avions pu amener lors de notre fuite et fait boire un liquide épais dont je ne me rappelais pas le gout J’avais tellement mal ,que j’aurais ingurgité n’importe quoi du moment que ça me soulageais un temps soit peu. J’avais demandé à Maximilien ou nous nous trouvions il m’avait alors répondu, qu’il avait trouvé une grotte à quelques mètres de là ou nous nous étions fait agressé .Au fur et à mesure que le temps passait ,je me sentais de mieux en mieux ,mes blessures guérissaient à vue d’œil comme me le faisait remarquer mon fiancé ,je retrouvais la forme .Il me donnais toujours cette boisson épaisse et inodore à boire, mais je m’enfichais complètement ,car je récupérais à une vitesse incroyable. C’est alors que contre tout attente passant la main dans mon cou ,je m’étais surprise à effleurer deux petits trous microscopique de la taille d’une épingle ,comme si une abeille m’y avait piqué .C’était un peu boursoufflé ,mais pas douloureux. Ca m’avais inquiété sur l’instant ,et j’en avais touché un mot à Maximillien, il m’avait alors regardé droit dans les yeux ,comme si une vérité douloureuse s’y cachait ,une vérité dont je ne voulais rien savoir .Mon fiancé m’avait alors révélé être une créature de la nuit ,qu’il m’avait donné de son sang avant bien sur, de me vider complètement du mien. J’avais sur le coup été prise d’un fou rire monstrueux ,je n’en avais pas cru un mot ,tout cela était tellement surréaliste !Mais il m’avait expliqué en détails la transformation qu’il avait voulu voir opérer sur ma personne ,j’étais alors sur le point de rendre l’âme,mais j’étais son épouse ,et en tant que telle ,je ne pouvais mourir, cela était inconcevable .Il m’avait alors mordu et vidé de mon sang ,jusqu'à la dernière goutte, et m’en avait abreuvé autant du sien qu’il le fallait pour me transformer en immortel .Son sang coulait maintenant dans mes veines à pleins régime ,ce doux nectar ,dont j’avais bu l’entièreté de mon verre à chaque fois qu’il jugeait ça nécessaire pour me remettre sur pied. Je n’avais pas protesté vu que je me sentais de mieux en mieux .Tellement mieux d’ailleurs ,que dès que j’en avais eu l’occasion ,j’avais été dans une rage tel ,que quand il m’avait annoncé la vérité sur ce qu’il m’avait fait ,ivre de vengeance ,j’en avais perdu la tête, et j’avais emprisonné son épée dans ma main et loin de se douter de ce qu’il l’attendait, je l’avais décapité .Je m’étais alors abreuvé à la source tellement aveuglé par la colère en vu des derniers événements ,que j’en avais perdu la raison ,son sang coulait en moi ,comme l’eau s’écoule dans unerivière .J’étais devenue ,moi aussi dès l’instant, une créature de la nuit.
Invité- Invité
Re: concours "frères de sang"
Soeurs de sang
En quelques lignes je vais vous racontez comment elle et moi sommes devenues soeurs de sang.
Cette aventure m'est arrivée un soir d'été,je me baladais seule après une longue journée passée à travailler,afin de me décontracté et évacuer le stress accumulé tout au long de cette journée.Tout était calme comme tous les soirs.
Soudain un bruit assourdissant suivi d'un cri qui me fit froid dans le dos retentirent à quelques rues de moi.D'abord pétrifiée je n'osais pas bouger de l'endroit où je me trouvais.Prenant mon courage à deux mains,je me décidai enfin à bouger et à aller voir ce qui c'était passé.
Quelles ne fut pas ma surprise quand à quelques pas devant moi je vis un corps en sang qui semblait sans vie.Doucement je m'en approchai tout en me demandant ce qui avait pu se passer.Arrivée à hauteur de ce corps je vis que c'était une fille qui d'après moi ne devait pas avoir plus de 15 ans.Son corps était maigre et ensanglanté de la tête aux pieds.Ne sachant trop que faire,j'essayai alors de lui parler pour savoir son nom afin de pouvoir prévenir quelqu'un proche d'elle.Difficilement elle bredouilla quelque chose qui me sembla être "Vanessa Carnissie".Ni une ni deux je pris mon gsm,composai le numéro de la police afin de leur signaler l'incident.En les attendant,je restai auprès d'elle pour m'assurer qu'elle ne perde pas conscience.Quinze minutes plus tard un agent arriva et me demanda ce qui c'était passé mais je ne savais pas grand chose.Il m'expliqua alors qu'elle était la fille d'une famille de bohémien qui séjournait dans le coin et que c'était certainement le résultat d'une vengeance et qu'il ne valait mieux pas ameuter tout le monde car ils préfèrent régler leurs histoires entre eux.Quelques minutes plus tard un couple arriva et je compris alors que c'était ses parents qui eux aussi me demandèrent ce qui c'était passé pour que leur fille soit dans cet état.Je leur expliquai ce que je savais et ils me demandèrent de les aider à ramener leur fille chez eux,ce que je fis sans problème.
Arrivé chez eux,je leur demandai si ils avaient encore besoin de moi ou i je pouvais les laisser.Ils me proposèrent de rester encore quelques instants car ils devaient me parler de leur fille.
Je m'installai dans un coin de leur demeure et attendis qu'ils reviennent me voir après s'être occupé de leurs fille.
Environ une demi heure plus tard je les vis revenir vers moi.Je leur demandai des nouvelles de leurs fille et apparemment ça mais elle avait une jambe cassée et une blessure à la tête qui était à l'origine de tout ce sang.Ils me demandèrent si je connaissais les coutumes des bohémiens et il est vrai que je ne m'y était jamais intéressée et je m'en voulais un peu tout à coup.En fait ils m'expliquèrent que quand une personne aidait quelqu'un de chez eux,ils lui étaient redevables à vie et que cette personne était devenue responsable de la personne aidée.Je dois dire que je n'arrivais pas trop à suivre ce qu'ils me disaient mais je n'en dis rien pour ne pas les vexer.Ils me demandèrent de revenir quelques jours plus tard quand leur fille irait mieux afin qu'elle m'explique exactement ce qui c'était passé dans la soirée.
Quatre jours après ces évènements,je revins donc chez eux avec un peu d’appréhension.Ce fût la fille qui m'acceuilli et me fis monter dans sa chambre.Elle commença en me remerciant de lui avoir porté secours et d'avoir aidé ses parents à la ramener chez elle.Elle m'expliqua alors leurs coutumes en quelques mots et quelle ne fut pas ma surprise d'apprendre que de par mes actes j'étais obligées de devenir sa soeur de sang car nous étions liées par l'esprit et que ce lien ne pouvait pas aller sans le lien du sang.Je la vis alors prendre un petit couteau posé sur sa table de nuit et se faire une petite entaille sur le poignet.Elle me tendis alors le couteau pour que j'en fasse de même,et je le fis sans trop réfléchir.Chose faite,elle prit mon bras et posa son entaille sur la mienne afin que nos sang se mélangent.Elle me dit a ce moment là que dès que j'aurais un problème,elle le ressentirait et vice versa.Nous étions maintenant soeurs d'esprit et de sang.Je ne compris pas tout de suite ce que ça impliquait.Ce que je sais maintenant,c'est que le jour où elle aura besoin de moi je le ressentirai au plus profond de mon être et vice versa.
Voilà donc comment elle et moi sommes devenues soeurs de sang.
En quelques lignes je vais vous racontez comment elle et moi sommes devenues soeurs de sang.
Cette aventure m'est arrivée un soir d'été,je me baladais seule après une longue journée passée à travailler,afin de me décontracté et évacuer le stress accumulé tout au long de cette journée.Tout était calme comme tous les soirs.
Soudain un bruit assourdissant suivi d'un cri qui me fit froid dans le dos retentirent à quelques rues de moi.D'abord pétrifiée je n'osais pas bouger de l'endroit où je me trouvais.Prenant mon courage à deux mains,je me décidai enfin à bouger et à aller voir ce qui c'était passé.
Quelles ne fut pas ma surprise quand à quelques pas devant moi je vis un corps en sang qui semblait sans vie.Doucement je m'en approchai tout en me demandant ce qui avait pu se passer.Arrivée à hauteur de ce corps je vis que c'était une fille qui d'après moi ne devait pas avoir plus de 15 ans.Son corps était maigre et ensanglanté de la tête aux pieds.Ne sachant trop que faire,j'essayai alors de lui parler pour savoir son nom afin de pouvoir prévenir quelqu'un proche d'elle.Difficilement elle bredouilla quelque chose qui me sembla être "Vanessa Carnissie".Ni une ni deux je pris mon gsm,composai le numéro de la police afin de leur signaler l'incident.En les attendant,je restai auprès d'elle pour m'assurer qu'elle ne perde pas conscience.Quinze minutes plus tard un agent arriva et me demanda ce qui c'était passé mais je ne savais pas grand chose.Il m'expliqua alors qu'elle était la fille d'une famille de bohémien qui séjournait dans le coin et que c'était certainement le résultat d'une vengeance et qu'il ne valait mieux pas ameuter tout le monde car ils préfèrent régler leurs histoires entre eux.Quelques minutes plus tard un couple arriva et je compris alors que c'était ses parents qui eux aussi me demandèrent ce qui c'était passé pour que leur fille soit dans cet état.Je leur expliquai ce que je savais et ils me demandèrent de les aider à ramener leur fille chez eux,ce que je fis sans problème.
Arrivé chez eux,je leur demandai si ils avaient encore besoin de moi ou i je pouvais les laisser.Ils me proposèrent de rester encore quelques instants car ils devaient me parler de leur fille.
Je m'installai dans un coin de leur demeure et attendis qu'ils reviennent me voir après s'être occupé de leurs fille.
Environ une demi heure plus tard je les vis revenir vers moi.Je leur demandai des nouvelles de leurs fille et apparemment ça mais elle avait une jambe cassée et une blessure à la tête qui était à l'origine de tout ce sang.Ils me demandèrent si je connaissais les coutumes des bohémiens et il est vrai que je ne m'y était jamais intéressée et je m'en voulais un peu tout à coup.En fait ils m'expliquèrent que quand une personne aidait quelqu'un de chez eux,ils lui étaient redevables à vie et que cette personne était devenue responsable de la personne aidée.Je dois dire que je n'arrivais pas trop à suivre ce qu'ils me disaient mais je n'en dis rien pour ne pas les vexer.Ils me demandèrent de revenir quelques jours plus tard quand leur fille irait mieux afin qu'elle m'explique exactement ce qui c'était passé dans la soirée.
Quatre jours après ces évènements,je revins donc chez eux avec un peu d’appréhension.Ce fût la fille qui m'acceuilli et me fis monter dans sa chambre.Elle commença en me remerciant de lui avoir porté secours et d'avoir aidé ses parents à la ramener chez elle.Elle m'expliqua alors leurs coutumes en quelques mots et quelle ne fut pas ma surprise d'apprendre que de par mes actes j'étais obligées de devenir sa soeur de sang car nous étions liées par l'esprit et que ce lien ne pouvait pas aller sans le lien du sang.Je la vis alors prendre un petit couteau posé sur sa table de nuit et se faire une petite entaille sur le poignet.Elle me tendis alors le couteau pour que j'en fasse de même,et je le fis sans trop réfléchir.Chose faite,elle prit mon bras et posa son entaille sur la mienne afin que nos sang se mélangent.Elle me dit a ce moment là que dès que j'aurais un problème,elle le ressentirait et vice versa.Nous étions maintenant soeurs d'esprit et de sang.Je ne compris pas tout de suite ce que ça impliquait.Ce que je sais maintenant,c'est que le jour où elle aura besoin de moi je le ressentirai au plus profond de mon être et vice versa.
Voilà donc comment elle et moi sommes devenues soeurs de sang.
Sang d'Encre
Sang d'Encre
Elle ouvrit rapidement un œil avant de le refermer aussi sec. Elle avait entendu la porte, cela ne pouvait signifier qu’une chose. Il n’était pas loin. Et il allait recommencer.
Bien qu’elle ne l’ait pas aperçu, elle recommença à tirer frénétiquement sur les liens qui entravaient ses membres, mais, comme lors de toutes ses tentatives précédentes, ce fut peine perdue. Ses attaches étaient bien trop serrées, et elle n’avait plus la moindre force. Elle ne parvenait qu’à s’entailler un peu plus les poignets et les chevilles, et ce n’était pas une bonne idée, dans sa position.
Elle sentit de l’air froid fouetter sa joue gauche et résista au réflexe d’ouvrir à nouveau les yeux. Il lui faisait peur. Très peur. Si elle avait encore eu en elle la force nécessaire, elle aurait hurlé. Mais elle n’avait plus d’énergie. L’angoisse assourdissante qui avait battu à ses tempes la première fois qu’elle l’avait aperçu avait fait place à de la peur froide et silencieuse, sans vigueur, morte.
Une main glacée s’empara de son bras et elle se raidit complètement. Pas besoin de regarder pour savoir ce qui se passait. Il se tenait là, juste à côté d’elle, sortant avec grand soin ses aiguilles démesurées, les regardant amoureusement. Quelques secondes plus tard, un petit tapotement à l’intérieur de son coude lui confirma la chose, suivi du picotement de l’aiguille qui transperce la peau. Les larmes se mirent à fuir ses yeux clos, alors incapables de lutter contre le flot qui voulait s’en échapper.
Puis elle sentit la vie s’en aller doucement de son corps, comme à chaque fois. Si elle avait ouvert les yeux, elle aurait vu son sang la quitter, aspiré par une des aiguilles de l’homme en noir. Elle savait que, sous peu, elle sentirait son corps comme détaché d’elle, grande étendue d’engourdissement qui lui deviendrait étranger. Du moins jusqu’à ce qu’il introduise la deuxième aiguille. Celle qui faisait mal.
Depuis qu’elle était là — quelques jours, des semaines, un siècle ? — le rituel se déroulait toujours de la même manière. Il entrait dans la grande pièce lugubre et dénuée de fenêtre sans dire un mot et allumait l’unique bougie. Puis il s’approchait d’elle et la vidait de son sang. Toujours un peu plus, sans dire un mot, sans la regarder. Puis, lorsqu’il était satisfait de la quantité prise, il changeait d’aiguille, et c’était la douleur qui s’installait là où le sang faisait défaut. La deuxième aiguille lui injectait un liquide sombre qui — elle en était maintenant persuadée— était de l’encre. Il brulait ses veines et s’insinuait jusqu’à son cerveau, rendant toute pensée cohérente impossible, courcircuitant ses synapses à la douleur. Elle finissait toujours pas s’évanouir, au bout d’un temps qui variait selon ce que son corps était prêt à endurer. Jamais elle ne voyait ce qui se passait ensuite.
Elle avait tenté de lui parler à de nombreuses reprises, en vain. Il ne l’avait même jamais regardée dans les yeux, jusqu’à il y a quelques jours, et, depuis, elle les fermait résolument dès qu’elle l’entendait arriver. Il y a peu, celui qu’elle avait surnommé le croque-mitaine en hommage aux contes que lui racontait sa mère avait croisé son regard, et le temps s’était arrêté. Dans ses yeux noirs, gouffres profonds sans iris et sans âme, elle avait lu toute la peur du monde, sans pouvoir comprendre d’où venait cette certitude. Elle avait détourné le regard au plus vite, résolue à ne plus jamais les fixer.
Elle repensa à sa famille, ses amis. Que s’étaient-ils dit lorsqu’elle avait disparu, un soir d’automne ? Avaient-ils pensé qu’elle les avait abandonnés lâchement ? Que la peur d’une vie rangée où mariage rimerait avec enfants l’avait effrayée au point qu’elle s’évanouisse dans la nature sans laisser de trace ? Elle espérait que non et que, quelque part derrières les ténèbres qui étaient devenues sa vie, quelqu’un la cherchait, que quelqu’un viendrait la délivrer.
Elle fut tirée de sa rêverie lorsqu’elle sentit l’aiguille quitter son bras et être remplacée par sa sœur noire. Elle se raidit, attendant la douleur qui ne tarda pas à arriver. Et une chose étrange se produisit. L’homme en noir posa une main glaciale sur son front fiévreux et murmura un simple mot. « Bientôt ».
De surprise, elle ouvrit les yeux et fut happée dans un gouffre sans fin. Elle se mit à gémir à son insu, frénétiquement, avant que ces gémissements ne se transforment en cris, tandis que l’homme reculait et se saisissait du seau dans lequel son sang avait été recueilli, sans cesser de la fixer. Il alla jusqu'au pied du mur et plongea sa main dans le sang, sans se soucier que sa manche y trempe également, avant de se mettre à tracer des signes sur la paroi.
C’est à ce moment que son bras se mit à la brûler atrocement. N’essayant même plus de réprimer ses cris, elle baissa les yeux et vit les traits se mouvoir sous sa peau. L’encre semblait danser sous l’épiderme au rythme des coups de pinceau invisible de l’homme en noir. Et la douleur… La douleur fulgurait dans son être à mesure que l’encre s’attachait à sa peau, et, bientôt, elle ne fut qu’un amas de souffrance teinté en noir.
L’homme se mit à rire frénétiquement tandis que les formes dansaient sur son corps vaincu, reflets obscurs des peintures maudites du mur, et la terreur s’insinua en elle plus profondément qu’elle ne l’aurait jamais cru capable de le faire. La douleur n’était plus qu’un souvenir, tout comme l’étaient sa famille, ses amis, et toutes les personnes qu’elle avait un jour aimées. Elle n’était plus qu’un trou noir, empli d’une peur ancestrale qui faisait exploser ses cellules au rythme de ses pulsations cardiaques.
Lorsqu’il s’arrêta de rire et revint vers elle, elle n’était plus rien. Son âme était aussi noire que son sang, et les marques rongeaient sa peau comme des remords. Jamais elle ne saurait pourquoi elle se trouvait là, et, lorsque l’homme se pencha sur elle pour lui donner le baiser de la mort, inspirant les dernières gouttes de vie qui perlaient à la surface de ses lèves, elle s’en fichait.
Bien qu’elle ne l’ait pas aperçu, elle recommença à tirer frénétiquement sur les liens qui entravaient ses membres, mais, comme lors de toutes ses tentatives précédentes, ce fut peine perdue. Ses attaches étaient bien trop serrées, et elle n’avait plus la moindre force. Elle ne parvenait qu’à s’entailler un peu plus les poignets et les chevilles, et ce n’était pas une bonne idée, dans sa position.
Elle sentit de l’air froid fouetter sa joue gauche et résista au réflexe d’ouvrir à nouveau les yeux. Il lui faisait peur. Très peur. Si elle avait encore eu en elle la force nécessaire, elle aurait hurlé. Mais elle n’avait plus d’énergie. L’angoisse assourdissante qui avait battu à ses tempes la première fois qu’elle l’avait aperçu avait fait place à de la peur froide et silencieuse, sans vigueur, morte.
Une main glacée s’empara de son bras et elle se raidit complètement. Pas besoin de regarder pour savoir ce qui se passait. Il se tenait là, juste à côté d’elle, sortant avec grand soin ses aiguilles démesurées, les regardant amoureusement. Quelques secondes plus tard, un petit tapotement à l’intérieur de son coude lui confirma la chose, suivi du picotement de l’aiguille qui transperce la peau. Les larmes se mirent à fuir ses yeux clos, alors incapables de lutter contre le flot qui voulait s’en échapper.
Puis elle sentit la vie s’en aller doucement de son corps, comme à chaque fois. Si elle avait ouvert les yeux, elle aurait vu son sang la quitter, aspiré par une des aiguilles de l’homme en noir. Elle savait que, sous peu, elle sentirait son corps comme détaché d’elle, grande étendue d’engourdissement qui lui deviendrait étranger. Du moins jusqu’à ce qu’il introduise la deuxième aiguille. Celle qui faisait mal.
Depuis qu’elle était là — quelques jours, des semaines, un siècle ? — le rituel se déroulait toujours de la même manière. Il entrait dans la grande pièce lugubre et dénuée de fenêtre sans dire un mot et allumait l’unique bougie. Puis il s’approchait d’elle et la vidait de son sang. Toujours un peu plus, sans dire un mot, sans la regarder. Puis, lorsqu’il était satisfait de la quantité prise, il changeait d’aiguille, et c’était la douleur qui s’installait là où le sang faisait défaut. La deuxième aiguille lui injectait un liquide sombre qui — elle en était maintenant persuadée— était de l’encre. Il brulait ses veines et s’insinuait jusqu’à son cerveau, rendant toute pensée cohérente impossible, courcircuitant ses synapses à la douleur. Elle finissait toujours pas s’évanouir, au bout d’un temps qui variait selon ce que son corps était prêt à endurer. Jamais elle ne voyait ce qui se passait ensuite.
Elle avait tenté de lui parler à de nombreuses reprises, en vain. Il ne l’avait même jamais regardée dans les yeux, jusqu’à il y a quelques jours, et, depuis, elle les fermait résolument dès qu’elle l’entendait arriver. Il y a peu, celui qu’elle avait surnommé le croque-mitaine en hommage aux contes que lui racontait sa mère avait croisé son regard, et le temps s’était arrêté. Dans ses yeux noirs, gouffres profonds sans iris et sans âme, elle avait lu toute la peur du monde, sans pouvoir comprendre d’où venait cette certitude. Elle avait détourné le regard au plus vite, résolue à ne plus jamais les fixer.
Elle repensa à sa famille, ses amis. Que s’étaient-ils dit lorsqu’elle avait disparu, un soir d’automne ? Avaient-ils pensé qu’elle les avait abandonnés lâchement ? Que la peur d’une vie rangée où mariage rimerait avec enfants l’avait effrayée au point qu’elle s’évanouisse dans la nature sans laisser de trace ? Elle espérait que non et que, quelque part derrières les ténèbres qui étaient devenues sa vie, quelqu’un la cherchait, que quelqu’un viendrait la délivrer.
Elle fut tirée de sa rêverie lorsqu’elle sentit l’aiguille quitter son bras et être remplacée par sa sœur noire. Elle se raidit, attendant la douleur qui ne tarda pas à arriver. Et une chose étrange se produisit. L’homme en noir posa une main glaciale sur son front fiévreux et murmura un simple mot. « Bientôt ».
De surprise, elle ouvrit les yeux et fut happée dans un gouffre sans fin. Elle se mit à gémir à son insu, frénétiquement, avant que ces gémissements ne se transforment en cris, tandis que l’homme reculait et se saisissait du seau dans lequel son sang avait été recueilli, sans cesser de la fixer. Il alla jusqu'au pied du mur et plongea sa main dans le sang, sans se soucier que sa manche y trempe également, avant de se mettre à tracer des signes sur la paroi.
C’est à ce moment que son bras se mit à la brûler atrocement. N’essayant même plus de réprimer ses cris, elle baissa les yeux et vit les traits se mouvoir sous sa peau. L’encre semblait danser sous l’épiderme au rythme des coups de pinceau invisible de l’homme en noir. Et la douleur… La douleur fulgurait dans son être à mesure que l’encre s’attachait à sa peau, et, bientôt, elle ne fut qu’un amas de souffrance teinté en noir.
L’homme se mit à rire frénétiquement tandis que les formes dansaient sur son corps vaincu, reflets obscurs des peintures maudites du mur, et la terreur s’insinua en elle plus profondément qu’elle ne l’aurait jamais cru capable de le faire. La douleur n’était plus qu’un souvenir, tout comme l’étaient sa famille, ses amis, et toutes les personnes qu’elle avait un jour aimées. Elle n’était plus qu’un trou noir, empli d’une peur ancestrale qui faisait exploser ses cellules au rythme de ses pulsations cardiaques.
Lorsqu’il s’arrêta de rire et revint vers elle, elle n’était plus rien. Son âme était aussi noire que son sang, et les marques rongeaient sa peau comme des remords. Jamais elle ne saurait pourquoi elle se trouvait là, et, lorsque l’homme se pencha sur elle pour lui donner le baiser de la mort, inspirant les dernières gouttes de vie qui perlaient à la surface de ses lèves, elle s’en fichait.
Invité- Invité
Re: concours "frères de sang"
-J’ai quelque chose à te montrer de très important, sa te changera de toutes ces discussions assommantes ! Dis je en m’attachant les cheveux.
-Et heu.. Qu’est ce que tu fais ?
-Regarde sa va te plaire ! Respire un grand coup sa risque de te surprendre !dis-je en prenant une petite dague sur la table.
Souriante j’entaille mon avant bras ,une goutte s’y échappe. Expirant doucement je compte jusqu’à trois et l’enfonce plus encore.
Abasourdi, il ne dit rien regardant s’écouler son sang jusqu’à sa main pour trace un pentacle encerclé.Stoppant l’afflux elle ferma les yeux, laissant surgir des flammes azurées.Fronçant des paupières, elles se mirent à tendre vers l’orangé, tel un simple feu de cheminée.
Il tend sa main prudemment et laisse les flammes danser sur ses doigts.
-Mais elles ne me brûlent pas ! Je ne ressens aucune chaleur…
-C’est normal ce n’est pas un vrai feu, tu as devant toi la braise de ma mémoire.
-Je ne comprends pas
-Regarde attentivement tu va comprendre.
Du même bras, elle se pique l’annulaire, n’y laissant tomber qu’une goutte au centre du pentacle. les flammes se dispersèrent aussitôt le long du cercle.Sa mains tremble quand la lame incise d’un coup sec son autre paume.Grimaçant elle ferme le point pour faire couler rapidement son sang. Lentement les gouttes se rassemblent, s’assemblent créant une multitudes de petits personnages, érigeant un paysage.
-Qu’est ce que ?
Serrant encore plus fort tout en lui faisant signe de se taire,scrutant le moindre de ses gestes.
Les petites figurines rutilantes se mirent progressivement à bouger, dansant ou jouant de la musique. Sans s’en rendre compte, un léger murmure s’insinue dans son esprit, quelques notes de violon et de guitare mêler au chœur.Le rythme s’accélère subitement, des cris ponctuent la chanson.L’un des danseurs marcha jusqu’au centre de l’assemblée et traça quelque chose au sol.Un pas en avant, il leva les bras au ciel et explosa.Tous disparu, le sang pris une couleur brunâtre,coagulé.
je bandais ma main et mon avant bras,plaçant les compresses dûment préparé,faible frein contre la vie.
-Un jour tu auras aussi ces cicatrices ,tu deviendra un homme parmi la communauté dis-je en pausant la main sur son cœur.
Du bout des doigts, je dépose deux graines dans le sang et ferme les yeux.Progressivement les graines absorbent le sang et bourgeonnes.Laissant ainsi sur le pentacle encerclé deux roses rouge.
-Papa et maman serraient fière de toi…
Dans les bras l’un l’autre ils se mirent à pleurer en silence.
-Et heu.. Qu’est ce que tu fais ?
-Regarde sa va te plaire ! Respire un grand coup sa risque de te surprendre !dis-je en prenant une petite dague sur la table.
Souriante j’entaille mon avant bras ,une goutte s’y échappe. Expirant doucement je compte jusqu’à trois et l’enfonce plus encore.
Abasourdi, il ne dit rien regardant s’écouler son sang jusqu’à sa main pour trace un pentacle encerclé.Stoppant l’afflux elle ferma les yeux, laissant surgir des flammes azurées.Fronçant des paupières, elles se mirent à tendre vers l’orangé, tel un simple feu de cheminée.
Il tend sa main prudemment et laisse les flammes danser sur ses doigts.
-Mais elles ne me brûlent pas ! Je ne ressens aucune chaleur…
-C’est normal ce n’est pas un vrai feu, tu as devant toi la braise de ma mémoire.
-Je ne comprends pas
-Regarde attentivement tu va comprendre.
Du même bras, elle se pique l’annulaire, n’y laissant tomber qu’une goutte au centre du pentacle. les flammes se dispersèrent aussitôt le long du cercle.Sa mains tremble quand la lame incise d’un coup sec son autre paume.Grimaçant elle ferme le point pour faire couler rapidement son sang. Lentement les gouttes se rassemblent, s’assemblent créant une multitudes de petits personnages, érigeant un paysage.
-Qu’est ce que ?
Serrant encore plus fort tout en lui faisant signe de se taire,scrutant le moindre de ses gestes.
Les petites figurines rutilantes se mirent progressivement à bouger, dansant ou jouant de la musique. Sans s’en rendre compte, un léger murmure s’insinue dans son esprit, quelques notes de violon et de guitare mêler au chœur.Le rythme s’accélère subitement, des cris ponctuent la chanson.L’un des danseurs marcha jusqu’au centre de l’assemblée et traça quelque chose au sol.Un pas en avant, il leva les bras au ciel et explosa.Tous disparu, le sang pris une couleur brunâtre,coagulé.
je bandais ma main et mon avant bras,plaçant les compresses dûment préparé,faible frein contre la vie.
-Un jour tu auras aussi ces cicatrices ,tu deviendra un homme parmi la communauté dis-je en pausant la main sur son cœur.
Du bout des doigts, je dépose deux graines dans le sang et ferme les yeux.Progressivement les graines absorbent le sang et bourgeonnes.Laissant ainsi sur le pentacle encerclé deux roses rouge.
-Papa et maman serraient fière de toi…
Dans les bras l’un l’autre ils se mirent à pleurer en silence.
Invité- Invité
Re: concours "frères de sang"
Pacte de Sang
Justine observait depuis de longues minutes la fine arborescence qui se créait devant ses yeux sur la robe blanche de Juliette. Allongée sur le ventre, celle-ci ne pouvait admirer le tableau mouvant qui, peu à peu, se formait sur ses jupons. Le vent glacial jouait nonchalamment avec les perles de givre accrochées aux fils d’argent de sa chevelure. Elle jouait avec le corps d’une tourterelle que la morsure du froid avait rendu aussi dur que le marbre. Justine lui trouvait la cruauté espiègle, elle aimait tout particulièrement l’éclat d’acier qui illuminait ses pupilles lors de la torture. En la voyant arracher méticuleusement chaque plume de ce qui fut un oiseau, Justine ne put réprimer le délicieux frisson qui remonta le long de sa colonne vertébrale. Elle reporta alors son attention sur la pivoine qui rougissait de plus en plus largement la délicate guipure de Juliette. Le tissu auparavant immaculé était maintenant aussi noir que la voute céleste immobile au dessus de leurs têtes. Elle aperçu soudain une goutte paresseuse se frayer un chemin le long de la cuisse opalescente, avant de terminer sa course, bue, par la neige fraîche sur laquelle elles étaient étendues. Hypnotisée, Justine ne pouvait plus la quitter des yeux, les soupirs de Juliette, occupé maintenant à crever les yeux de l’animal, étaient pour elle la plus douce des liqueurs.
N’y tenant plus, Justine risqua une main tremblante en direction de la cheville gracile. Juliette tourna alors la tête dans sa direction. En apercevant la neige maculée elle parti d’un rire cristallin, aussi froid que l’immensité gelée autour d’elles. En plantant ses yeux dans ceux de Justine, sa voix se fit rauque « Tu as promis. »
Juliette s’était retournée pour faire face à Justine, assise devant elle, elle la dominait de sa hauteur. Justine devinait son regard fiévreux sous la masse de ses cheveux. Durant ce qui lui sembla une éternité, elle regarda Juliette se cambrer, agripper le mince tissus qui l’enveloppait et envoyer la robe voler en direction du ciel étoilé. Juliette était maintenant nue. Le froid donnait à sa peau une teinte d’un bleu irréel. N’y tenant plus, Justine se jeta sur elle. En l’embrassant à pleine bouche, elle eu la sensation d’enlacer une idole sculptée dans le marbre. Elle se noyait maintenant dans le capiteux parfum de son cou, le parfum enivrant de la folie. Justine couvrait le petit corps gelé de baiser amoureux, elle ne savait pas si Juliette tressaillait de froid ou de plaisir. Arrivée à la hauteur de sa poitrine, elle ne pu s’empêcher d’admirer la perfection qui s’offrait à son regard. Continuant sa course, elle enfouit sa tête au creux des cuisses de Juliette. Celles-ci semblaient brulante tant le reste de son corps menu était glacé. En écartant délicatement ses genoux, elle glissa un index aventureux en direction de l’intimité de Juliette. Celle-ci eu un hoquet de plaisir au moment ou la main de Justine frôla sa toison moite. Ses gémissements étaient calqués sur l’avancée des doigts de Justine en elle. Justine retira alors sa main tachée de pourpre et l’observa longtemps sous les pales reflets de la lune. Juliette la fixait sans ciller. Justine approcha alors sa main de son visage et lécha délicatement les sillons bordeaux qui ornaient ses phalanges. Juliette écarta alors plus largement ses cuisses. Justine ne pu résister et enfouis son visage à la source du flux incandescent. Elle entreprit de laper chaque goutte échappée de l’écrin de chair. A chaque coup de langue, Justine pouvait sentir le corps de Juliette se tendre comme un arc. Arrivée au paroxysme de la jouissance, Juliette retomba sur la neige tel un pantin désarticulé après avoir poussé un ultime cri. Justine se blottis alors contre le corps de son amante, elle regardait le ciel avec une expression de béatitude totale. Le vent déposa alors un de ses flocons entre les cils de soie de Juliette. En le froissant entre ses doigts, celle-ci parti d’un rire guttural. Face au regard interloqué de Justine elle s’expliqua :
- Regarde, de la cendre ! Maintenant ce sont eux qui pleurent sur nous !
Justine releva alors la tête et regarda par delà la forêt poudrée de neige, l’hôpital psychiatrique qu’elles avaient quitté quelques heures plus tôt. Les flamme avaient grignotés toute l’aile ouest et s’acharnaient maintenant sur le bâtiment principal. Justine songea qu’avec le froid, les réserves d’eau étaient inutilisables, et cette pensée fit naître un méchant sourire sur ses lèvres céruléennes.
Invité- Invité
Re: concours "frères de sang"
Avoir ses règles :
Avoir ses règles
Perdre beaucoup de sang
Prendre très cher
Tous les X temps
Elle préfère les tampax
Les pates à cul la rendent furax
Vraiment pas relax
Lorsqu'elles arrivent
Aussi rouges que l’envie
Son string sans pitié elles imbibent
Avoir ses règles
Déchirée par les crampes
Portée par ce flux espiègle
Une douleur qui résonne jusqu’aux tempes
Car le bébé en elle s’est vidé
Être menstruée
Parce qu’elle est une femme
Qui arbore ses règles
Fière d’être une dame
L’ovule parti
La laisse seule avec ses débris
Avoir ses règles
Après tous ces mâles
Et leur grosse trique fatale
C’est être puissante comme un aigle
Avoir ses règles
Elle les a bien entubés
Sinon elle ne l’aurait pas gardé
Oh avoir ses règles
Tous les hommes sont les mêmes
Leurs vîts sont damnés
Ils essaient d’ensemencer
Mais ils ont tort de croire
Que leur sperme l’aurait fécondée
Son âme est noire
Et tout fluide séminal en elle sera gâché
Avoir ses règles
Perdre beaucoup de sang
Prendre très cher
Tous les X temps
Elle préfère les tampax
Les pates à cul la rendent furax
Vraiment pas relax
Lorsqu'elles arrivent
Aussi rouges que l’envie
Son string sans pitié elles imbibent
Avoir ses règles
Déchirée par les crampes
Portée par ce flux espiègle
Une douleur qui résonne jusqu’aux tempes
Car le bébé en elle s’est vidé
Être menstruée
Parce qu’elle est une femme
Qui arbore ses règles
Fière d’être une dame
L’ovule parti
La laisse seule avec ses débris
Avoir ses règles
Après tous ces mâles
Et leur grosse trique fatale
C’est être puissante comme un aigle
Avoir ses règles
Elle les a bien entubés
Sinon elle ne l’aurait pas gardé
Oh avoir ses règles
Tous les hommes sont les mêmes
Leurs vîts sont damnés
Ils essaient d’ensemencer
Mais ils ont tort de croire
Que leur sperme l’aurait fécondée
Son âme est noire
Et tout fluide séminal en elle sera gâché
Invité- Invité
Re: concours "frères de sang"
Et voilà l'heure tant attendue du verdict a sonné....
Tout d'abord nous voudrions tous vous remercier de votre participation à notre premier concours, qui je vous rassure ne sera pas le dernier.
Vous avez vraiment tous fait un excellent travail mais malheureusement nous avons dû choisir un gagnant et un seul.
Honnêtement cela n'a pas été facile mais nous sommes arrivés à un nom.
Attention roulement de tambour .....
La gagnante de notre premier concours est AURELIA !!!!!! Au nom de toute l'équipe Félicitations.
Nous te contactons par MP pour te donner plus de précisions.
Merci encore à tous les participants !!!!!
Gros bisous
Tout d'abord nous voudrions tous vous remercier de votre participation à notre premier concours, qui je vous rassure ne sera pas le dernier.
Vous avez vraiment tous fait un excellent travail mais malheureusement nous avons dû choisir un gagnant et un seul.
Honnêtement cela n'a pas été facile mais nous sommes arrivés à un nom.
Attention roulement de tambour .....
La gagnante de notre premier concours est AURELIA !!!!!! Au nom de toute l'équipe Félicitations.
Nous te contactons par MP pour te donner plus de précisions.
Merci encore à tous les participants !!!!!
Gros bisous
Invité- Invité
Re: concours "frères de sang"
De rien ma belle , il ne te reste plus qu'a contacter qui de droit pour les modalités d'envoi.
Si Bite Me te plait n'hésite pas à faire circuler
Re: concours "frères de sang"
je ne sais pas si c'est ici que je dois le dire,si pas vous l'effacerai,
félicitations Aurélia
félicitations Aurélia
Invité- Invité
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