Les films les plus polémiques du cinéma

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Le cinéma, dès qu'il sort des genres traditionnels de la comédie, des films romantiques ou des bons gros films d'action, fait souvent parler de lui... Qu'ils abordent des sujets religieux, violents, sexuels ou politiques, certains réalisateurs sont d'ailleurs des rois en matière de « polémiques ».

Dernier film en date à avoir beaucoup fait parler de lui avant même sa sortie en salles, c'est Antichrist de Lars Von Trier. Présenté en compétition au Festival de Cannes il y a quelques semaines, le long-métrage a choqué par des images associant violence et sexe dans des scènes presque insoutenables.

Alors que le film sort ce 3 juin en salles, voici un petit retour sur ces oeuvres les plus polémiques du 7ème Art...

POLITIQUE

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1- Le Dictateur (1940)

Sorti en 1940, ce chef d'oeuvre de Chaplin, inspiré du régime nazi d'Hitler, avait défrayé la chronique à l'époque. Trop engagé politiquement pour les uns, pamphlet interventionniste, alors que les Etats-Unis n'étaient pas encore officiellement « en guerre », pour les autres, le long-métrage dérange et a même été censuré en Espagne, Allemagne et Irlande.
Ce bijou d'absurde a pourtant été le plus grand succès populaire de Chaplin.

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2- Platoon (1986)

Ce long-métrage, réalisé en 1986, dépeint une image peu glorieuse de la guerre du Vietnam. Massacres sur la population civile, pauvreté des soldats ou encore folie des autorités, Oliver Stone frappe là où ça fait mal et est accusé d'antipatriotisme outre-Atlantique. Cela ne l'empêche pas de décrocher quatre oscars, dont celui du meilleur film.

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3- Orange mécanique (1971)

Dire que le film de Kubrick a créé la polémique est un euphémisme. Critique d'un régime totalitaire qui combat la violence par l'éradication du libre-arbitre, ORANGE MÉCANIQUE est vu par certains comme un appel à la violence.
Kubrick est même obligé de retirer son film des salles en Grande-Bretagne après des menaces contre ses enfants et des meurtres à la pelle. Ce n'est qu'après la mort du cinéaste, en 1999, que le long-métrage sera ré exploité outre-Manche.

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4- JFK (1991)

Oliver Stone aimerait-il la polémique ? Après PLATOON, il crée la controverse avec JFK. Les journalistes lui reprochent ses libertés prises avec les faits historiques et ses sous-entendus douteux, notamment sa théorie d'un coup d'état orchestré par le vice-président Johnson. Décrié, Stone fait tout de même parler son talent en engrangeant plus 200 millions de dollars dans le monde et en récoltant huit nominations aux Oscars.

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5- Fight Club (1999)

" Comment peux-tu te connaître si tu ne t'es jamais battu ? " disait une accroche provocatrice du film. Cette dénonciation ironique d'une société d'ultra consommation, véritable réflexion sur les pertes de repères, est ruée de coups par les médias.
Ces derniers voient en FIGHT CLUB un film fasciste qui justifierait la violence comme seule justice possible. Télérama écrit même qu'il s'agit d' « une mélasse sub-nietzschéenne épicée de violence gratuite ». Outch, ça fait mal...

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6- Fahrenheit 9/11 (2004)

Critiquer George W. Bush pendant 2h a certes palmé d'Or Michael Moore mais attention au retour de bâton ! Le cinéaste a ainsi été au coeur de pas moins de deux polémiques concernant son long-métrage. D'une part, les gens de la profession ont souligné la partialité et le sensationnalisme du « documentaire » .
D'autre part, Moore fut catalogué d'antipatriote par une partie de la population américaine. Il est devenu une cible tellement facile qu'il a inspiré David Zucker pour son AN AMERICAN CAROL.

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7- Le Cauchemar de Darwin (2005)

Documentaire de qualité pour certains, imposture pour d'autres, LE CAUCHEMAR DE DARWIN est mis en cause pour sa manipulation d'images. Alors qu'Hubert Sauper tend à dénoncer le lien entre le commerce de la perche et le trafic d'armes en Afrique, une polémique éclate lorsqu'on lui reproche de pas avoir documenté son propos et de n'avoir appuyé sa thèse que sur le montage d'images et la déduction. Le débat sur les devoirs du documentaire est ainsi lancé... Peut-on accorder une place à l'interprétation ?

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8- Borat (2006)

Si BORAT est devenu un véritable phénomène culturel, voir même un objet de culte, sa sortie en salles n'a pas été exempte de péripéties. Il faut dire que le personnage créé par Sacha Baron Cohen est le politiquement incorrect fait homme ! Le Kazakhstan, les antisémites, les clichés, les rednecks américains, les homophobes ou encore les racistes sont passés au vitriol par l'humoriste.
Forcément, ça ne plaît pas à tout le monde. Le film est interdit dans certains pays et les intervenants, filmés contre leur gré, portent plainte. Dur d'assumer sa propre bêtise ?

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9- Tropa de Elite (2008)

Vu par son réalisateur brésilien comme la volonté d' « expliquer comment l'Etat corrompt les policiers ou les incite à la violence », TROPA DE ELITE est critiqué par de nombreux médias qui y voient une célébration de la violence, Variety allant même jusqu'à déclarer qu'il ressemble à « un film de recrutement pour des brutes fascistes ».
Des inquiétudes accentuées par les applaudissements du public brésilien aux scènes de torture. Le long-métrage reçoit tout de même l'Ours d'Or à Berlin en 2008.

SEXE

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1 - Gorge Profonde (1972)

Sorti en 1972 aux Etats-Unis, GORGE PROFONDE a déclenché une véritable polémique alors qu'à l'origine, il devait circuler sous le manteau. Tourné en six jours à Miami par Gerard Damiano, avec un budget de 25.000$, le FBI estime qu'il a rapporté en 30 ans d'exploitation près de 600M$.
Il a également propulsé l'actrice Linda Lovelace sous le feu des projecteurs. Elle y incarne une jeune femme possédant un clitoris situé au fond de la gorge et ne pouvant atteindre l'extase qu'en avalant totalement un sexe masculin.

Le film a alors bousculé des tabous sur les pratiques sexuelles et a lancé la vague du « Porno Chic ». Les journalistes du Washington Post ont par ailleurs surnommé « Gorge profonde » leur informateur dans l'affaire qui allait devenir le Watergate.

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2- La Grande Bouffe (1973)

Un pilote de ligne, un restaurateur, un réalisateur TV et un juge se réunissent un week-end pour organiser un suicide collectif gastronomique auquel ils ont convié des prostituées.
Métaphore des dérives de la société de consommation, le film de Marco Ferreri fit fureur lors de sa sortie et de sa projection au Festival de Cannes en 1973 où il fut hué. Philippe Noiret, acteur du film, s'était défendu en déclarant :
« Nous tendions un miroir aux gens et ils n'ont pas aimé se voir dedans. C'est révélateur d'une grande connerie ».

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3- L'empire des sens (1976)

Film de Nagisa Oshima, sorti en 1976, il plonge dans le Japon militaire des années 1930 et les quartiers bourgeois de Tokyo.
Une ancienne prostituée, désormais servante, épie les ébats amoureux de ses maîtres et soulage quelques vieillards pour finalement être entraînée dans un tourbillon érotique avec son maître. Le film interroge les frontières de l'érotisme et des sens. Mais le caractère pornographique créa un vrai scandale au Japon et fut censuré (zones de flou sur les parties sexuelles, scènes coupées).
Grâce à une coproduction française, le film fut finalement diffusé dans le monde entier.

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4- Larry Flint (1997)

LARRY FLINT, de Milos Forman, retrace la vie de l'éditeur américain, créateur du magazine pornographique Hustler, incarné par Woody Harrelson. Militaire dans l'US Army et la Navy dans sa jeunesse, Larry Flint a commencé par ouvrir des bars dans lesquels il a peu à peu introduit des hôtesses.
La newsletter qu'il a par la suite créée pour informer les clients sur ces dernières devient rapidement un vrai magazine : Hustler. L'affiche du film (à gauche) a fait sensation à sa sortie, aux Etats-Unis et en Europe. Milos Forman avait demandé à la production de la retirer. Il l'a remplacée par une nouvelle affiche (à droite) moins provocante mais dénonçant la censure dont il avait fait les frais.

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5- Baise-moi (2000)

Une prostituée vient de perdre son compagnon assassiné, et rencontre Manu, jeune maghrébine qui tourne des films porno et vient de subir un viol. Elles renversent alors les pratiques machistes en prenant des hommes simplement pour le sexe puis les abandonnent.
Tiré du livre éponyme de Virginie Despentes, BAISE-MOI fut dans un premier temps interdit aux moins de 16 ans avant d'être finalement classé film X, suite à l'action d'associations conservatrices. Les scènes de sexe sont en effet non simulées, pourtant sa classification pornographique a fait débat.

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6- The Brown Bunny (2004)

Rien de bien sexuel dans ce film du français Vincent Gallo qui suit le parcours d'un solitaire en camion à travers les Etats-Unis. Pas grand chose si ce n'est, il est vrai, une scène de fellation non simulée entre Vincent Gallo et Chloë de Sévigny. De quoi émoustiller et choquer quelques âmes sensibles, notamment au Festival de Cannes 2003. Toutefois, l'agence Wiliam Morris a résilié son contrat avec l'actrice française...

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7- Pier Paolo Pasolini, un artiste complet et engagé

Ecrivain, poète et cinéaste italien, Pasolini est à de nombreuses reprises apparu comme terriblement subversif. Dans un pays fortement catholique, son homosexualité posait déjà problème. Ses films également, avec des scènes terribles de sado-machosisme dans SALO, OU LES 120 JOURS DE SODOME.
Difficile de le ranger dans une catégorie car les polémiques qu'il souleva concernèrent tout aussi bien le sexe, la politique que la religion. Comme dans son adaptation de l'EVANGILE SELON MATTHIEU, en 1964, accusée d'insulte à la religion d'Etat. THEOREME, en 1968, ou un personnage s'immisce dans une riche famille milanaise et entretient des rapports sexuels avec tous ses membres a également suscité beaucoup d'émoi chez les catholiques italiens.

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8- Larry Clark, sexe et adolescence

Grand photographe américain, il passe derrière la caméra en 1995 pour KIDS et déjà son cinéma dérange. Dans ce film, il montre les désirs et les comportements sexuels de jeunes adolescents pendant l'apparition du Sida et dépeint des scènes de viol. Malgré l'approbation de la critique, il fait polémique.
KEN PARK, en 2003, fera de même. Larry Clark y montre des scènes de sexe à trois, de fellations et montre des relations incestueuses entre un père et une fille ou une mère et le petit ami de sa fille.

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9- Catherine Breillat, romancière X

Romancière d'origine, elle connut une carrière d'actrice anecdotique. Elle passe derrière la caméra en 1979 pour UNE VRAIE JEUNE FILLE, adaptation de son premier roman.
Le film contient des scènes pornographiques mais cherche à montrer le dégoût de soi. Elle se fait connaître du grand public avec ROMANCE en 1999. Le film contient des scènes de sexe non simulées.
Caroline Ducey et Sagamore Stevenin tournent une scène de fellation et Rocco Siffredi pénètre cette dernière, même si la véracité de cet acte a été discutée par les acteurs eux-mêmes.

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10- Paul Verhoeven, le sans culotte

Difficile de passer à côté de BASIC INSTINCT. Le film, présenté à Cannes en 1992, a propulsé Sharon Stone en tant que star mondiale. Il a fait des remous aux Etats-Unis à cause de sa scène culte dans laquelle Sharon Stone croise et décroise ses jambes laissant voir qu'elle ne porte pas de culotte. Cette séquence et d'autres scènes dénudées ont d'ailleurs été censurées pour la sortie américaine du film, au total près de 42 secondes.
Les films de Paul Verhoeven défrayent davantage la chronique à cause de leurs scènes violentes. C'est le cas notamment de STARSHIP TROOPERS ou TOTAL RECALL, qui sont malgré tout de vives critiques du capitalisme et du militarisme.

VIOLENCE

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1 - Cannibal Holocaust (1981)

Le titre annonçait la couleur. Dix jours après la première à Milan en février 1980, le réalisateur Ruggero Deodato est arrêté pour obscénité. Accusé d'avoir réalisé un « snuff movie », Deodato du prouver à la télé que les acteurs étaient toujours vivants.

Interdit dans plus de 60 pays, les différentes scènes de découpe de carcasse humaine, amputation, viol et castration auront quand même valu à Cannibal Holocaust le statut de film culte... À consommer de préférence l'estomac vide.

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2- Tueurs Nés (1994)

Classé 8ème film le plus controversé de tous les temps par Entertainment Weekly, Tueurs Nés est le fruit à la fois d'un scénario original de Quentin Tarantino et de son adaptation par Oliver Stone.
Avec ses effets frénétiques et psychédéliques, le film a été critiqué à maintes reprises pour sa glorification de la violence. Il fut ainsi impliqué dans de nombreuses affaires de meurtres aux Etats-Unis, certains criminels évoquant le film comme inspiration de leur crime...

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3- Irréversible (2002)

Cannes, 2002. Le nouveau film français de Gaspard Noé, Irréversible, défraie la chronique. Les trente premières minutes du film sont accompagnées d'un bruit de fond inaudible, dont la fréquence est supposée entraîner nausées et vertiges. 200 personnes quittent la salle.
S'en suivent des scènes de violence déroutantes, dont le fameux passage à l'extincteur et les neuf minutes de viol. Au final, certains crieront au génie tandis que d'autres vont déplorer son culte du nihilisme : « Le temps détruit tout ».

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4- Takashi Miike

Créateur de la trilogie Dead or Alive, le réalisateur japonais Takashi Miike a été au milieu de plusieurs polémiques, souvent critiqué pour des oeuvres supposées misogynes et ultra-violentes.
Il est reconnu par les critiques pour son humour noir et ses multiples tentatives de repousser les barrières de la censure. Pour Ichy The Killer, des sacs à vomis furent donnés au public comme objet promotionnel. Néanmoins, il demeure un réalisateur étonnant, ayant aussi réalisé des films pour enfants, ainsi que des drames historiques et sentimentaux.

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5- Martyrs (2008)

Au coeur d'une controverse sur l'interdiction en salles aux moins de 18 ans qui planait sur le film, Martyrs de Pascal Laugier a en effet créé la polémique par sa violence poussée à l'extrême.

Finalement « seulement » interdit aux moins de 16 ans, le long-métrage n'en reste pas moins éprouvant... des scènes de torture qui feraient presque passer le coup de l'extincteur d'Irréversible pour un dessin animé de chez Disney !

RELIGION

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1 - Sous le soleil de Satan (1987)

Le film de Maurice Pialat a été rendu célèbre par la plus grande huée jamais connu à Cannes. Lors de la remise de la Palme d'Or en 1987, le réalisateur est venu chercher sa récompense sous les sifflets des journalistes. Excédé, il a eu ce bon mot « Si vous ne m'aimez pas, je ne vous aime pas non plus ».

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2- La dernière Tentation du Christ (2001)

Scorsese livre une version anti-dogmatique de la vie de Jésus. Ce dernier est représenté hésitant entre mener une vie d?homme simple ou tout sacrifier sur la croix.
Le 23 octobre 1988, un groupe fondamentaliste catholique incendie la salle de cinéma Saint Michel à Paris pour protester contre la projection du film. Cet attentat a fait quatorze blessés dont quatre sévères. D'autres incendies seront perpétrés à la salle du Gaumont Opéra ainsi qu'à Besançon. Un autre attentat du même groupe a causé le décès d'un spectateur.

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3- Amen (2002)

Le film de Costa-Gavras dénonce l'attentisme du Vatican dans l'holocauste perpétré par le régime nazi. La version présentée par le cinéaste a été très critiquée par certains Catholiques qui lui reprochent d'être partiale et de dénaturer l'action menée par Pie XII durant les années de guerre de son pontificat. L'un des éléments de la polémique fut également l'affiche du film, qui mêlait une croix gammée au crucifix.

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4- La Passion du Christ (2004)

Mel Gibson a voulu enfoncer le clou avec cette version de la crucifixion du Christ. Les juifs, les Chrétiens, les non-violents et certains historiens sont montés au créneau pour dénoncer un film qui leur portait atteinte. Cela a bien sûr contribué au grand succès du film, et Mel Gibson a reçu l'appui de nombreux religieux et historiens, même si son adaptation ne relève pas de la qualité d'un documentaire historique.

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5- Da Vinci Code (2006)

Projeté en avant première mondiale au festival de Cannes 2006, l'adaptation du best-seller de Dan Brown mettant en scène Tom Hanks et Audrey Tautou a reçu un accueil glacial par les critiques. Ce qui n'empêcha pas de nombreuses associations catholiques françaises de mener des campagnes contre le film. À l'étranger, il a également subi la censure notamment en Azerbaïdjan et en Thaïlande.

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6- Luis Bunuel

Ce dernier a également lancé la polémique avec VIRIDIANA qui aborde le fétichisme sexuel et l'inceste, l'hypocrisie de l'Église, la bêtise et la suffisance de la bourgeoisie, la bestialité populaire. La « Cène » où le Christ et ses apôtres sont remplacés par des mendiants reste un monument de provocation.

j'ai vu 3 des films

-antichrist:choquant ,glook,dérangent,il m'a franchement choqué
-amen:je ne vois pas se qui fait dans cette liste,mais je l'ai trouvais super bien,tres bonnes prestations!
-martyr:j'ai eu du mal a regardé jusqu'au bout,à la fin je me suis dit une chose:"pourquoi j'ai regardé ce film" et je l'ai supprimé .

Le dictateur:j'aime pas Chaplin,ni le film!!
Platton:j'aime,la vérité pas toujours bonne à savoir!!
Orange mécanique: j'ai détesté!!
Jfk:je suis pas trop politique!!
Fight club: difficile à comprendre!!
L'empire des sens: dur,mais bon film!!
Basic instinct: j'aime!!
La passion du Christ: très bon film!!
Da Vinci code: j'aime,mais j'ai du le regarder deux fois pour tout comprendre!!