La vie est un (men)songe : 12 bonnes raisons de virer parano…
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La vie est un (men)songe : 12 bonnes raisons de virer parano…
La réalité, le monde de tous les jours sont-ils ce qu’ils semblent ? Il existe mille bonnes raisons d’en douter et de virer complètement parano. En voici déjà 12, hantises tout droit venues du visionnage de certains films (et d'un peu plus loin, aussi)…
Dossier réalisé par Alexis Geng pour Allociné
Le libre-arbitre n'est qu'une illusion
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Le film :
L'Agence.
Le pitch :
David Norris est un jeune congressman plein d’avenir. Mais il tombe amoureux d’une jeune femme que le destin ne lui réservait pas, et ça n’est pas du goût des mystérieux agents du "bureau d’ajustement", en charge de l’application du "Plan". Où l’on apprend que nous sommes (vraiment) des jouets entre les mains du destin et que nos décisions ne sont jamais le fruit de notre volonté…
La citation qui fout les jetons :
Richardson (John Slattery) : "We are the people that make sure everything’s happening according to Plan. We monitor the entire world." ["Nous sommes ceux qui nous assurons que tout se passe selon le Plan. Nous exerçons notre contrôle sur le monde entier."]
La réalité n’est qu’une illusion
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Le film :
Matrix.
Le pitch :
programmeur anonyme dans un service administratif le jour, Thomas Anderson devient Neo la nuit venue. Sous ce pseudonyme, il est l'un des pirates les plus recherchés du cyber-espace. A cheval entre deux mondes, Neo est assailli par d'étranges songes et des messages cryptés provenant d'un certain Morpheus. Celui-ci l'exhorte à aller au-delà des apparences et à trouver la réponse à la question qui hante constamment ses pensées : qu'est-ce que la Matrice ? Tout bonnement, comme il s'apprête à le découvrir, une construction virtuelle qui empêche l’humanité asservie de contempler l’atroce réalité...
La citation qui fout les jetons :
Neo (Keanu Reeves) : "Why do my eyes hurt?" ["Pourquoi mes yeux me font-ils mal ?"]
Morpheus (Laurence Fishburne) : "You've never used them before." ["Tu ne les a jamais utilisés jusqu’à aujourd'hui."]
Votre réalité n’est qu’une illusion
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Le film :
Le Village.
Le pitch :
Une petite communauté isolée vit totalement repliée sur elle-même, dans la terrifiante certitude qu'une race de créatures mythiques peuple les bois entourant le village. Cette force maléfique est si menaçante que personne n'ose s'aventurer au-delà des dernières maisons. Du coup, pour Lucius et les jeunes gens du village, les frontières du monde connu s’arrêtent à l’orée du bois…
La citation qui file le vertige :
Garde : "Where are you from?" ["D’où venez-vous ?"]
Ivy (Bryce Dallas Howard) : "The woods." ["Des bois."]
Les aliens sont parmi nous
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Le film :
Invasion Los Angeles.
Le pitch :
errant dans Los Angeles à la recherche d'un travail, John Nada, ouvrier au chômage, découvre un étonnant trafic de lunettes. Une fois posées sur le nez, elles permettent de détecter d'épouvantables extraterrestres qui, mêlés à la population humaine, ont pris le contrôle de la planète. Bref, le monde est en réalité dominé par des aliens très (mais alors très) moches qui nous manipulent à coup de slogans subliminaux.
La citation qui résume tout :
John Nada (Roddy Piper) : "You, you're okay. This one: real fuckin' ugly." ["Toi, ça va. Lui par contre, il a une putain de sale gueule."]
Le monde vous épie
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Le film :
The Truman Show.
Le pitch :
Truman Burbank mène une vie calme et heureuse. Il habite dans un petit pavillon propret de la radieuse station balnéaire de Seahaven. Il rejoint tous les matins son bureau d'agent d'assurances dont il ressort huit heures plus tard pour regagner son foyer, savourer le confort de son habitat modèle, la bonne humeur inaltérable et le sourire mécanique de sa femme, Meryl. Mais parfois, Truman étouffe sous tant de bonheur et la nuit venue, l'angoisse le submerge. Il se sent de plus en plus étranger, comme si son entourage jouait un rôle. Pis encore, il se sent observé… Normal, il l’est : Truman est, sans le savoir, la vedette d’un show télé, dont le spectacle est sa vie. Truman Burbank, soit l’homme-cobaye du monde médiatique : "Big (TV) Brother is watching you."
La citation qui en dit long :
Truman (Jim Carrey) : "Who are you?" [à Christof, qu’il ne voit pas : "Qui êtes-vous ?"]
Christof (Ed Harris) : "I am the Creator - of a television show that gives hope and joy and inspiration to millions." [sur haut-parleurs : "Je suis le Créateur – d’un jeu télévisé qui apporte de l’espoir, de la joie et qui inspire des millions de gens."]
Truman : "Then who am I?" ["Et moi alors, qui suis-je ?"]
Christof : "You're the star." ["Tu en es la vedette."]
Votre vie est une fiction
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Le film :
L'Incroyable destin de Harold Crick.
Le pitch :
Un beau matin, Harold Crick, obscur fonctionnaire du fisc, entend une voix de femme qui se met à commenter tout ce qu'il vit, y compris ses pensées les plus intimes. Harold découvre que cette voix est celle d'une romancière, Karen Eiffel, qui s'efforce désespérément d'écrire la fin de ce qui pourrait être son meilleur livre. Il ne lui reste plus qu'à trouver comment tuer son personnage principal : Harold…
L'Incroyable destin de Harold Crick, ou le décloisonnement des univers : que se passe-t-il quand un auteur et son personnage évoluent dans la même réalité ?
La citation qui en dit long :
Penny Escher (Queen Latifah) : "I'm Penny, I'm Kay's assistant." ["Je suis Penny, l’assistante de Kay."]
Harold Crick (Will Ferrell) : "Oh, I'm Harold. Her main character." ["Oh, je suis Harold. Son personnage principal."]
Vous n'avez jamais été vous…
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Le film :
La Moustache.
Le pitch :
"Qu'est-ce que tu dirais si je me rasais la moustache ?" demande Marc à Agnès. "Je ne sais pas. Je t'aime avec mais je t'ai jamais connu sans." Elle sort un moment faire des courses, le laissant devant le miroir de la salle de bain. Et il le fait. Comme ça : par jeu, pour voir la tête qu'elle fera, pour changer un petit quelque chose dans leur vie heureuse et sans histoire. Elle rentre et ne fait aucune remarque. Le plus drôle, c'est qu'elle a vraiment l'air de ne rien remarquer. Les autres non plus. Et peu à peu, à cause ce simple détail, la réalité commence à s'effilocher…
La citation qui fout les jetons :
Agnès (Emmanuelle Devos) : "Tu sais très bien que t’as jamais eu de moustache !"
La paranoïa n'existe pas…
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Le film :
Complots.
Le pitch :
Jerry Fletcher, chauffeur de taxi, est hanté par des visions effrayantes. Sillonnant les rues de New York, il entretient ses clients d'obscurs complots connus de lui seul. Tout le monde le prend pour un paranoïaque. Seule Alice, jeune procureure au ministère de la justice qui vit en recluse depuis l'assassinat de son père, accepte de l'écouter… jusqu’au jour où il s’avère que les complots façon X-Files dénoncés par Jerry ne ressortent pas tous d’une folie douce.
Quoi de plus efficace pour vous rendre parano, que de vous montrer que la paranoïa n’existe pas…
La citation qui en dit long :
Jerry (Mel Gibson) : "I'm only paranoid because they want me dead." ["Je suis seulement paranoïaque parce qu’ils veulent me tuer."]
Ce(ux) que vous voyez existe(nt)-t-il(s) ?
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Le film :
Un Homme d'exception.
Le pitch :
En 1947, étudiant les mathématiques à l'université de Princeton, John Forbes Nash Jr., un brillant élève, élabore sa théorie économique des jeux. Pour lui, les fluctuations des marchés financiers peuvent être calculées très précisément. Au début des années 1950, ses travaux et son enseignement au Massachusetts Institute of Technology ne passent pas inaperçus et un représentant du Département de la Défense, William Parcher, se présente à lui pour lui proposer d'aider secrètement les États-Unis. La mission de John consiste à décrypter dans la presse les messages secrets d'espions russes, censés préparer un attentat nucléaire sur le territoire américain. Celui-ci y consacre rapidement tout son temps, et ce au détriment de sa vie de couple avec Alicia, tandis que des agents ennemis surveillent ses moindres faits et gestes. Le hic, c’est que personne ne le croit...
Précision utile : évidemment, comme pour d'autres "cas" évoqués ici, Un Homme d'exception n'est pas le seul film à pouvoir servir d'illustration...
La citation qui en dit long :
Charles (Paul Bettany) : "Nothing's ever for sure, John. That's the only sure thing I do know." ["Rien n’est jamais certain, John. C’est la seule chose certaine que je sache."] Tu parles Charles…
Existez-vous ?
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Le film :
Sixième Sens.
Le pitch :
Cole Sear, garçonnet de huit ans, est hanté par un terrible secret. Son imaginaire est visité par des esprits menaçants. Trop jeune pour comprendre le pourquoi de ces apparitions et traumatisé par ses pouvoirs paranormaux, Cole s'enferme dans une peur maladive et ne veut révéler à personne la cause de son enfermement. A personne, sauf à un psychologue pour enfants nommé Bruce Willis.
La citation qui en dit long (et qui fout les jetons, aussi) :
Cole Sear (Haley Joel Osment) : "I see dead people." ["Je vois des gens qui sont morts."]
Ce qui arrive… arrive-t-il vraiment ?
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Le film :
Ouvre les yeux (et son remake US, Vanilla Sky).
Le pitch :
César, jeune homme de 25 ans, est enfermé dans une unité psychiatrique carcérale. Un psychiatre l'aide à prendre connaissance des circonstances qui l'ont amené à commettre un meurtre. Le récit de César fait peu à peu apparaître de graves confusions dans sa perception de la réalité. Désespéré, il met en doute son équilibre psychique et imagine être victime d'une vaste machination. La vie est un songe : peut-on se fier à ses sens ? avez-vous vécu ce que vous pensez avoir vécu ? Oui ? Tant mieux. Non ? En un sens ça vaut mieux, parfois…
La citation qui en dit long :
"Abre los ojos." ["Ouvre les yeux."]
Êtes-vous… vous ?
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Le film :
Angel Heart.
Le pitch :
New York, 1955. Harry Angel, détective privé, est engagé par un étrange client pour retrouver la piste d’un certain Johnny Favourite. A mesure que son enquête avance, les témoins sont sauvagement assassinés. Angel Heart, ou la descente aux enfers selon Alan Parker…
La citation qui en dit long :
Louis Cyphre (Robert De Niro) : "No matter how cleverly you sneak up on a mirror, your reflection always looks you straight in the eye." ["Quelles que soient les précautions qu’on prenne pour s’approcher d’un miroir, votre reflet vous regarde toujours droit dans les yeux."]
Dossier réalisé par Alexis Geng pour Allociné
Le libre-arbitre n'est qu'une illusion
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Le film :
L'Agence.
Le pitch :
David Norris est un jeune congressman plein d’avenir. Mais il tombe amoureux d’une jeune femme que le destin ne lui réservait pas, et ça n’est pas du goût des mystérieux agents du "bureau d’ajustement", en charge de l’application du "Plan". Où l’on apprend que nous sommes (vraiment) des jouets entre les mains du destin et que nos décisions ne sont jamais le fruit de notre volonté…
La citation qui fout les jetons :
Richardson (John Slattery) : "We are the people that make sure everything’s happening according to Plan. We monitor the entire world." ["Nous sommes ceux qui nous assurons que tout se passe selon le Plan. Nous exerçons notre contrôle sur le monde entier."]
La réalité n’est qu’une illusion
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Le film :
Matrix.
Le pitch :
programmeur anonyme dans un service administratif le jour, Thomas Anderson devient Neo la nuit venue. Sous ce pseudonyme, il est l'un des pirates les plus recherchés du cyber-espace. A cheval entre deux mondes, Neo est assailli par d'étranges songes et des messages cryptés provenant d'un certain Morpheus. Celui-ci l'exhorte à aller au-delà des apparences et à trouver la réponse à la question qui hante constamment ses pensées : qu'est-ce que la Matrice ? Tout bonnement, comme il s'apprête à le découvrir, une construction virtuelle qui empêche l’humanité asservie de contempler l’atroce réalité...
La citation qui fout les jetons :
Neo (Keanu Reeves) : "Why do my eyes hurt?" ["Pourquoi mes yeux me font-ils mal ?"]
Morpheus (Laurence Fishburne) : "You've never used them before." ["Tu ne les a jamais utilisés jusqu’à aujourd'hui."]
Votre réalité n’est qu’une illusion
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Le film :
Le Village.
Le pitch :
Une petite communauté isolée vit totalement repliée sur elle-même, dans la terrifiante certitude qu'une race de créatures mythiques peuple les bois entourant le village. Cette force maléfique est si menaçante que personne n'ose s'aventurer au-delà des dernières maisons. Du coup, pour Lucius et les jeunes gens du village, les frontières du monde connu s’arrêtent à l’orée du bois…
La citation qui file le vertige :
Garde : "Where are you from?" ["D’où venez-vous ?"]
Ivy (Bryce Dallas Howard) : "The woods." ["Des bois."]
Les aliens sont parmi nous
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Le film :
Invasion Los Angeles.
Le pitch :
errant dans Los Angeles à la recherche d'un travail, John Nada, ouvrier au chômage, découvre un étonnant trafic de lunettes. Une fois posées sur le nez, elles permettent de détecter d'épouvantables extraterrestres qui, mêlés à la population humaine, ont pris le contrôle de la planète. Bref, le monde est en réalité dominé par des aliens très (mais alors très) moches qui nous manipulent à coup de slogans subliminaux.
La citation qui résume tout :
John Nada (Roddy Piper) : "You, you're okay. This one: real fuckin' ugly." ["Toi, ça va. Lui par contre, il a une putain de sale gueule."]
Le monde vous épie
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The Truman Show.
Le pitch :
Truman Burbank mène une vie calme et heureuse. Il habite dans un petit pavillon propret de la radieuse station balnéaire de Seahaven. Il rejoint tous les matins son bureau d'agent d'assurances dont il ressort huit heures plus tard pour regagner son foyer, savourer le confort de son habitat modèle, la bonne humeur inaltérable et le sourire mécanique de sa femme, Meryl. Mais parfois, Truman étouffe sous tant de bonheur et la nuit venue, l'angoisse le submerge. Il se sent de plus en plus étranger, comme si son entourage jouait un rôle. Pis encore, il se sent observé… Normal, il l’est : Truman est, sans le savoir, la vedette d’un show télé, dont le spectacle est sa vie. Truman Burbank, soit l’homme-cobaye du monde médiatique : "Big (TV) Brother is watching you."
La citation qui en dit long :
Truman (Jim Carrey) : "Who are you?" [à Christof, qu’il ne voit pas : "Qui êtes-vous ?"]
Christof (Ed Harris) : "I am the Creator - of a television show that gives hope and joy and inspiration to millions." [sur haut-parleurs : "Je suis le Créateur – d’un jeu télévisé qui apporte de l’espoir, de la joie et qui inspire des millions de gens."]
Truman : "Then who am I?" ["Et moi alors, qui suis-je ?"]
Christof : "You're the star." ["Tu en es la vedette."]
Votre vie est une fiction
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L'Incroyable destin de Harold Crick.
Le pitch :
Un beau matin, Harold Crick, obscur fonctionnaire du fisc, entend une voix de femme qui se met à commenter tout ce qu'il vit, y compris ses pensées les plus intimes. Harold découvre que cette voix est celle d'une romancière, Karen Eiffel, qui s'efforce désespérément d'écrire la fin de ce qui pourrait être son meilleur livre. Il ne lui reste plus qu'à trouver comment tuer son personnage principal : Harold…
L'Incroyable destin de Harold Crick, ou le décloisonnement des univers : que se passe-t-il quand un auteur et son personnage évoluent dans la même réalité ?
La citation qui en dit long :
Penny Escher (Queen Latifah) : "I'm Penny, I'm Kay's assistant." ["Je suis Penny, l’assistante de Kay."]
Harold Crick (Will Ferrell) : "Oh, I'm Harold. Her main character." ["Oh, je suis Harold. Son personnage principal."]
Vous n'avez jamais été vous…
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La Moustache.
Le pitch :
"Qu'est-ce que tu dirais si je me rasais la moustache ?" demande Marc à Agnès. "Je ne sais pas. Je t'aime avec mais je t'ai jamais connu sans." Elle sort un moment faire des courses, le laissant devant le miroir de la salle de bain. Et il le fait. Comme ça : par jeu, pour voir la tête qu'elle fera, pour changer un petit quelque chose dans leur vie heureuse et sans histoire. Elle rentre et ne fait aucune remarque. Le plus drôle, c'est qu'elle a vraiment l'air de ne rien remarquer. Les autres non plus. Et peu à peu, à cause ce simple détail, la réalité commence à s'effilocher…
La citation qui fout les jetons :
Agnès (Emmanuelle Devos) : "Tu sais très bien que t’as jamais eu de moustache !"
La paranoïa n'existe pas…
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Complots.
Le pitch :
Jerry Fletcher, chauffeur de taxi, est hanté par des visions effrayantes. Sillonnant les rues de New York, il entretient ses clients d'obscurs complots connus de lui seul. Tout le monde le prend pour un paranoïaque. Seule Alice, jeune procureure au ministère de la justice qui vit en recluse depuis l'assassinat de son père, accepte de l'écouter… jusqu’au jour où il s’avère que les complots façon X-Files dénoncés par Jerry ne ressortent pas tous d’une folie douce.
Quoi de plus efficace pour vous rendre parano, que de vous montrer que la paranoïa n’existe pas…
La citation qui en dit long :
Jerry (Mel Gibson) : "I'm only paranoid because they want me dead." ["Je suis seulement paranoïaque parce qu’ils veulent me tuer."]
Ce(ux) que vous voyez existe(nt)-t-il(s) ?
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Un Homme d'exception.
Le pitch :
En 1947, étudiant les mathématiques à l'université de Princeton, John Forbes Nash Jr., un brillant élève, élabore sa théorie économique des jeux. Pour lui, les fluctuations des marchés financiers peuvent être calculées très précisément. Au début des années 1950, ses travaux et son enseignement au Massachusetts Institute of Technology ne passent pas inaperçus et un représentant du Département de la Défense, William Parcher, se présente à lui pour lui proposer d'aider secrètement les États-Unis. La mission de John consiste à décrypter dans la presse les messages secrets d'espions russes, censés préparer un attentat nucléaire sur le territoire américain. Celui-ci y consacre rapidement tout son temps, et ce au détriment de sa vie de couple avec Alicia, tandis que des agents ennemis surveillent ses moindres faits et gestes. Le hic, c’est que personne ne le croit...
Précision utile : évidemment, comme pour d'autres "cas" évoqués ici, Un Homme d'exception n'est pas le seul film à pouvoir servir d'illustration...
La citation qui en dit long :
Charles (Paul Bettany) : "Nothing's ever for sure, John. That's the only sure thing I do know." ["Rien n’est jamais certain, John. C’est la seule chose certaine que je sache."] Tu parles Charles…
Existez-vous ?
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Sixième Sens.
Le pitch :
Cole Sear, garçonnet de huit ans, est hanté par un terrible secret. Son imaginaire est visité par des esprits menaçants. Trop jeune pour comprendre le pourquoi de ces apparitions et traumatisé par ses pouvoirs paranormaux, Cole s'enferme dans une peur maladive et ne veut révéler à personne la cause de son enfermement. A personne, sauf à un psychologue pour enfants nommé Bruce Willis.
La citation qui en dit long (et qui fout les jetons, aussi) :
Cole Sear (Haley Joel Osment) : "I see dead people." ["Je vois des gens qui sont morts."]
Ce qui arrive… arrive-t-il vraiment ?
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Ouvre les yeux (et son remake US, Vanilla Sky).
Le pitch :
César, jeune homme de 25 ans, est enfermé dans une unité psychiatrique carcérale. Un psychiatre l'aide à prendre connaissance des circonstances qui l'ont amené à commettre un meurtre. Le récit de César fait peu à peu apparaître de graves confusions dans sa perception de la réalité. Désespéré, il met en doute son équilibre psychique et imagine être victime d'une vaste machination. La vie est un songe : peut-on se fier à ses sens ? avez-vous vécu ce que vous pensez avoir vécu ? Oui ? Tant mieux. Non ? En un sens ça vaut mieux, parfois…
La citation qui en dit long :
"Abre los ojos." ["Ouvre les yeux."]
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Angel Heart.
Le pitch :
New York, 1955. Harry Angel, détective privé, est engagé par un étrange client pour retrouver la piste d’un certain Johnny Favourite. A mesure que son enquête avance, les témoins sont sauvagement assassinés. Angel Heart, ou la descente aux enfers selon Alan Parker…
La citation qui en dit long :
Louis Cyphre (Robert De Niro) : "No matter how cleverly you sneak up on a mirror, your reflection always looks you straight in the eye." ["Quelles que soient les précautions qu’on prenne pour s’approcher d’un miroir, votre reflet vous regarde toujours droit dans les yeux."]
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