L’encrier de sang du comte Faël Céréwïn
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L’encrier de sang du comte Faël Céréwïn
Bienvenue dans ce sujet ou vous trouverez quelques-uns de mes textes et autre nouvelles.
Je baptise mon premier sujet avec un de mes derniers textes.
Silence.
Ce silence si pur si profond, glace mes veines de solitude.
Dehors, la pluie tombe en cette sombre journée de Novembre.
La tendresse de tes baisés, ne sont plus qu’amertume dans les dédales de mes pensées.
Ton sourire qui habité mes songe semble s’estomper, longtemps je t’avais cru mienne.
Comment ai-je pu croire une seul instant que le temps aurai pus nous rapprocher.
La chaleur de tes mains que je me plaisais a imaginer sur mon corps n’est plus que poussières.
Assombris par le rêve que tu aurais pu être a mes côté, hante a présent mon esprit.
Croire en l’espérance de te retrouver un jour me semble si futile, tellement impensable.
Comment ai-je pu être aussi bête que de croire à une seconde chance.
Il était évident que la douleur de nos histoires finirait par nous détourner de nos chemins.
Pourtant une petite étincelle dans les sombres nuits que je passe sous ma pauvre couverture.
Scintille à l’horizon, est-ce simplement une hallucination ou est-ce bel et bien encore un faible espoir ?
En attendant je reste enfermé dans mes sombres textes, reflétant mes états d’âmes.
Si sombres mais tellement apaisant pour mon pauvre cœur affaiblie…
Comte Faël Céréwïn.
*Texte soumis a droit d'auteur
Dernière édition par Comte Faël Céréwïn le Mer 8 Fév - 13:50, édité 1 fois (Raison : Mise en page)
Invité- Invité
Re: L’encrier de sang du comte Faël Céréwïn
Pleine Lune…
Sombre nuit dévoilant mes instincts, je pars en chasse de ma prochaine victime.
Une femme courant à l’orée de la forêt elle fuit.
Que fuit-elle ? Elle se retourne encore et encore mais ne cesse de courir.
Je la suis dans la forêt guettant la moindre chute le moindre arrêt afin que je puisse me fondre sur elle.
Soudain elle s’arrête, essoufflée de sa course refreiné.
Je m’approche délicatement d’elle, seule la lueur de la lune révélant ma silhouette.
La dame se retourne, mais ne repart pas. Qui êtes-vous me fit-elle ?
Je cesse mon pas, surpris de sa question, pourquoi ne se retourne t’elle pas ?
Je reste silencieux a sa question espérant qu’elle reprenne sa course le jeu du chat et de la souris et bien plus excitant.
- Qui êtes-vous ! reprend-elle un ton plus haut.
- Pourquoi ne fuyez-vous pas, n’avez-vous pas peur de moi ? L’interrogeai-je sur le même ton.
- Devrai-je ? Mais enfin allez-vous me répondre ? Qui êtes-vous ?
- Je suis le comte Faël Céréwïn, je suis une créature de la nuit assoiffée de votre sang.
- Alors prenez-moi et finissons-en ! Je n’ai plus l’envie de vivre…
Je m’approche jusqu’as sentir son parfum vanillé, je porte une main dans ses cheveux lisses.
- Comment vous appelez-vous ?
- Je suis Sarah Vallers, je suis fille de Marquis.
- Que faite-vous par ici, que fuyez-vous ?
- Je fuis le conformisme et les protocoles de mon rang, j’en ai assez !
J’approche ma bouche de son cou, l’odeur de vanille et celui de son sang emplis mes poumons.
- Prenez-moi vous dis-je, n’hésitez-pas !
Je sens son cœur s’accéléré, elle s’offre à moi, mais l’excitation de son envie m’empêche de la mordre.
La voilà qui me caresse le dos et referme son étreinte sur moi.
- Et donc vous voulez en mourir ?
- Oui ! Je n’ai plus l’envie de vivre en ce bas-monde, je ne peu faire se dont j’ai envie, Je suis privée de liberté !
Je la penche en arrière, la voluptée se laisse faire, si fragile si facile, peut-être est-ce mon pouvoir qui la rend esclave.
Esclave de mes mains, esclave de mon corps.
La voilà étendu à même l’herbe et les feuilles mortes, soumis à mon règne.
Elle soupir déjà, alors que mes mains parcours son corps d’une délicatesse inouïe.
Je déboutonne son chemisier, la demoiselle se laisse faire, je contemple ses seins fermes et délicat.
Ma bouche caresse son ventre, remontant jusqu'à la pointe de sa poitrine, la demoiselle gémis tendrement.
Mon souffle chaud parcours son cou et remonte jusqu’as ses lèvres, la dame essaie de m’embrassé, mais je me retire avant de posé les miennes sur les siennes.
D’un mouvement sec je la soulève et la renverse, mon torse a découverts, les yeux bleue scintillants de la princesse, je perçois en son regard le désir ardent de mes reins.
Je me couche à mon tour sur le sol et la dulcinée se retrouve sur mon torse, elle tremble d’envie.
Je la retourne a mon tour refusant d’être son esclave, seul moi doit être maitre de mes actes, maitre de mes envie.
Sauvagement je la soulève a cheval sur mon corps la poussant contre un arbre la dévorant de mes baisés, ses ongle griffe mon dos, mais ma peau d’acier résiste a ses doigts.
Désir sauvage, souplesse incroyable la voila esclave de mon corps.
Alternant mouvement doux et mouvements sec la demoiselle en est essoufflée.
Enfin l’apothéose, mes crocs acérés pénètre son cou.
La demoiselle jouie et se laisse faire…
Mouvement sec et plaisir extrême, je m’abreuve lentement de son sang.
Désir ardent de pleine lune la dame et encore vivante…
© Faël Céréwïn.
Sombre nuit dévoilant mes instincts, je pars en chasse de ma prochaine victime.
Une femme courant à l’orée de la forêt elle fuit.
Que fuit-elle ? Elle se retourne encore et encore mais ne cesse de courir.
Je la suis dans la forêt guettant la moindre chute le moindre arrêt afin que je puisse me fondre sur elle.
Soudain elle s’arrête, essoufflée de sa course refreiné.
Je m’approche délicatement d’elle, seule la lueur de la lune révélant ma silhouette.
La dame se retourne, mais ne repart pas. Qui êtes-vous me fit-elle ?
Je cesse mon pas, surpris de sa question, pourquoi ne se retourne t’elle pas ?
Je reste silencieux a sa question espérant qu’elle reprenne sa course le jeu du chat et de la souris et bien plus excitant.
- Qui êtes-vous ! reprend-elle un ton plus haut.
- Pourquoi ne fuyez-vous pas, n’avez-vous pas peur de moi ? L’interrogeai-je sur le même ton.
- Devrai-je ? Mais enfin allez-vous me répondre ? Qui êtes-vous ?
- Je suis le comte Faël Céréwïn, je suis une créature de la nuit assoiffée de votre sang.
- Alors prenez-moi et finissons-en ! Je n’ai plus l’envie de vivre…
Je m’approche jusqu’as sentir son parfum vanillé, je porte une main dans ses cheveux lisses.
- Comment vous appelez-vous ?
- Je suis Sarah Vallers, je suis fille de Marquis.
- Que faite-vous par ici, que fuyez-vous ?
- Je fuis le conformisme et les protocoles de mon rang, j’en ai assez !
J’approche ma bouche de son cou, l’odeur de vanille et celui de son sang emplis mes poumons.
- Prenez-moi vous dis-je, n’hésitez-pas !
Je sens son cœur s’accéléré, elle s’offre à moi, mais l’excitation de son envie m’empêche de la mordre.
La voilà qui me caresse le dos et referme son étreinte sur moi.
- Et donc vous voulez en mourir ?
- Oui ! Je n’ai plus l’envie de vivre en ce bas-monde, je ne peu faire se dont j’ai envie, Je suis privée de liberté !
Je la penche en arrière, la voluptée se laisse faire, si fragile si facile, peut-être est-ce mon pouvoir qui la rend esclave.
Esclave de mes mains, esclave de mon corps.
La voilà étendu à même l’herbe et les feuilles mortes, soumis à mon règne.
Elle soupir déjà, alors que mes mains parcours son corps d’une délicatesse inouïe.
Je déboutonne son chemisier, la demoiselle se laisse faire, je contemple ses seins fermes et délicat.
Ma bouche caresse son ventre, remontant jusqu'à la pointe de sa poitrine, la demoiselle gémis tendrement.
Mon souffle chaud parcours son cou et remonte jusqu’as ses lèvres, la dame essaie de m’embrassé, mais je me retire avant de posé les miennes sur les siennes.
D’un mouvement sec je la soulève et la renverse, mon torse a découverts, les yeux bleue scintillants de la princesse, je perçois en son regard le désir ardent de mes reins.
Je me couche à mon tour sur le sol et la dulcinée se retrouve sur mon torse, elle tremble d’envie.
Je la retourne a mon tour refusant d’être son esclave, seul moi doit être maitre de mes actes, maitre de mes envie.
Sauvagement je la soulève a cheval sur mon corps la poussant contre un arbre la dévorant de mes baisés, ses ongle griffe mon dos, mais ma peau d’acier résiste a ses doigts.
Désir sauvage, souplesse incroyable la voila esclave de mon corps.
Alternant mouvement doux et mouvements sec la demoiselle en est essoufflée.
Enfin l’apothéose, mes crocs acérés pénètre son cou.
La demoiselle jouie et se laisse faire…
Mouvement sec et plaisir extrême, je m’abreuve lentement de son sang.
Désir ardent de pleine lune la dame et encore vivante…
© Faël Céréwïn.
Invité- Invité
Re: L’encrier de sang du comte Faël Céréwïn
Et si…
Si consumé par mon désir, je dois être brulé vif
Si réduit en cendre recouvrant le sol, je dois être détruit
Si brisé en des milliers de morceaux, je dois être régressif
Si anéanti sur un lit de rose, dans d’éternelles nuits
Je subsisterai
Si noyé dans d’innombrables vagues, je dois étouffer
Si souffler par des vents puissant, je dois en subir
Si saignés aux quartes vaines, je dois baigner
Si détruit en un champ de débris, je dois finir
Je ressusciterai
Si gommer sur une feuille, je dois être étalé
Si effacer dans ta mémoire, je dois être renié
Si ignorer dans tes geste, je dois être snobé
Si expulsé de ta vie, je dois être recalé
Je disparaitrai
Si dévoilé tes yeux, daignent m’accepté
Si gravé sur ma peau, tu dois être inscrit
Si avoué ton cœur, veuille m’agréer
Si vivre a tes coté, tu m’accepte dans ta vie
Alors je rêverai…
Faël Céréwïn.©
Si consumé par mon désir, je dois être brulé vif
Si réduit en cendre recouvrant le sol, je dois être détruit
Si brisé en des milliers de morceaux, je dois être régressif
Si anéanti sur un lit de rose, dans d’éternelles nuits
Je subsisterai
Si noyé dans d’innombrables vagues, je dois étouffer
Si souffler par des vents puissant, je dois en subir
Si saignés aux quartes vaines, je dois baigner
Si détruit en un champ de débris, je dois finir
Je ressusciterai
Si gommer sur une feuille, je dois être étalé
Si effacer dans ta mémoire, je dois être renié
Si ignorer dans tes geste, je dois être snobé
Si expulsé de ta vie, je dois être recalé
Je disparaitrai
Si dévoilé tes yeux, daignent m’accepté
Si gravé sur ma peau, tu dois être inscrit
Si avoué ton cœur, veuille m’agréer
Si vivre a tes coté, tu m’accepte dans ta vie
Alors je rêverai…
Faël Céréwïn.©
Invité- Invité
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