Chapitre II
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Chapitre II
La Prophétie de Huryaën
Le lendemain, Céréwïn décida de retourner à cette étrange grotte afin de trouver une réponse a ce crie, il emporta avec lui le vieux parchemin qu’il mit dans sa poche.
Il appela Célégorm, Ludy, Bélian et Angy, puis ensemble Ils y retournèrent.
Ils prirent la décision d’aller voir avant Niky, le vendeur du village.
Ils lui racontèrent l’histoire, et ils lui demandèrent s’il n’avait pas quelques objets pour se défendre dans l’arrière boutique au cas où. Niky ramena quelques armes et un bâton. Puis il annonça :
- Je ne sais pas si sa vous aidera mais c’est tout ce que j’ai !
Bélian prit le bâton et prononça une phrase dans une langue inconnue.
Soudain, une colombe apparue.
- C’est trop cool ! Répondue Céréwïn ébahi.
- Mais en quelle langue t’exprimes-tu ? Je ne connais pas cette langue ! S’exclama Ludy.
- Et bien il s’agit d’une vieille langue elfique, mais je ne connais que les formules de pouvoir, je suis incapable de vous traduire un texte.
- Oui en gros tu ne sers pas à grand-chose ! Répondit Célégorm d’un air amusé.
- Non je plaisante bien entendu.
- Ah ah c’est trop marrant, fit Angy d’un air moqueur.
- Oh ça va, ce n’est que de la plaisanterie… répondit Célégorm.
- Bon, vous avez fini tous les deux ? demanda Céréwïn
- Tu sais ce qu’on dit, qui aime bien, châtie bien ! Répondit Angy amusée.
Céréwïn distribua une dague à Angy et il empoigna une épée dans ses mains.
Célégorm contempla une deuxième épée avant de s’écrier.
- En garde !
Céréwïn surpris se retourna et se mit en position. Il frappa dans l’épée de Célégorm et ce dernier fit de même.
- C’est tout ce que tu sais faire ?!
- Tais-toi et attaque petit soldat !
- Je vais te montrer si je suis un petit soldat !
Célégorm brandis l’épée vers le ciel et dans un geste rapide il fit tomber l’épée de Céréwïn.
- Ah ah ! Te voilà à ma merci !
- Vous avez bientôt fini les enfants ? demanda Angy d’un ton narquois.
Aussitôt Céréwïn ramassa son épée et frappa celle de Célégorm, le choc fit valser cette dernière de l’autre côté de la pièce manquant de peu Ludy.
- Vous êtes des malades ! s’écria Ludy.
- Excuse-moi Ludy.
Céréwïn rangea son épée dans son fourreau et alla ramasser celle de Célégorm.
Ludy leva les yeux au ciel puis elle rallât un peu car elle n’avait rien pour elle, alors Niky lui donna une couronne et lui dit.
- Comme ça tu seras leur princesse, et ils devront te protéger.
- Ah oui ! Ca me plaît beaucoup ! Répondu Ludy en souriant.
- Et bien à ta place je ne serais pas rassurée ! fit Angy moqueuse.
- Nianiania ! Rallât Céréwïn.
- Je me suis excusé c’est bon.
- Mais oui chevalier, tu es pardonné. Répondit Ludy souriante. Mais maintenant tu es à mon service.
Céréwïn souffla de désespoir.
Angy eu une idée.
- Tiens ! Il faudrait peut être prendre de quoi nous nourrir on ne sait jamais?
- Oui ! Tu a raison ! S’exclama Ludy
Alors Niky alla chercher des sacs, qu’il remplit de nourritures.
Une heure passa, lorsqu’ils partirent pour l’aventure, ils avaient dit à leurs parents, qu’ils dormiraient chez les uns et les autres.
Puis ils se rendirent devant la grotte.
Bélian enleva le rocher qui avait étrangement rebouché l’entrée, puis ils rentrèrent à l’intérieur.
Ils avancèrent prudemment, la pièce ornée de jaune avait disparue. Ils passèrent une embouchure, et tombèrent devant un genre de labyrinthe. Il était fait entièrement de pierre avec des chemins qui partaient dans tous les sens.
Une phrase gravée sur un mur mise en garde nos amis en leur disant qu’ils pénétraient un endroit interdit, mais nos amis n’y prêtèrent pas attention. Ils continuèrent à avancer quand ils entendirent des bruits assourdissants. Derrière eux, chaque fois qu’ils faisaient un pas, le passage se refermait.
- Vite ! Vite ! Les pressa Angy
Ils coururent à toute vitesse, puis une lumière aveuglante les éblouis et ils tombèrent dans un sommeil profond…
Quand Céréwïn se réveilla, il était dans une étrange pièce.
Elle était toute blanche, cette couleur lui donnait mal à la tête tellement qu’elle était lumineuse, il y avait d’étranges bougies soutenues par des socles en forme de cercle qui éclairaient cette pièce, la porte semblait être en bois, et les murs en pierre.
Il se leva du lit sur lequel il reposait et constata qu’il était seul. Il essaya d’ouvrir la porte, mais en vain, elle était impossible à ouvrir même la poigné tournait dans le vide.
Il chercha son épée qu’il n’avait plus en sa possession, il commença à s’inquiéter.
Quand soudain, il entendit des pas qui semblaient venir de l’extérieur, il demanda qui était là mais aucune réponse, puis il entendit comme un bruit de clés, et la serrure tourna, quand la porte s’ouvrit, il vit une étrange bête.
Elle était grande, habillée d’une sorte de robe de couleur argentée, elle avait de grandes oreilles qui pendaient mais semblait gentille. La bête prononça ces quelques mots dans une langue de châtelain.
- Voulez-vous bien me suivre monsieur, madame la reine vous attend.
De quelle reine voulait-elle parler ? Il s’assommait de questions, quand la bête fit un mouvement en forme de cercle de sa main droite, puis une sorte de flash fut envoyé dans les yeux de Céréwïn, et toutes ses questions disparurent, alors la bête annonça :
- N’essayez pas de vous questionner, je n’ai pas le droit de vous répondre, la reine s’en chargera, à présent veuillez bien me suivre s’il vous plaît.
Elle lui tendit sa main, et Céréwïn suivi cette chose, à travers d’immenses couloirs.
Ils étaient larges, hauts, et il y avait une porte à peu prés tous les cinq mètres, avec des chiffres pairs d’un côté et impairs de l’autre, le couloir était très lumineux et le parcours très long. Lorsque, enfin, ils furent devant une immense porte blanche, avec des détails en or et en argent, c’était vraiment très beau, mais le chemin jusqu’ici avait un peu abruti Céréwïn, et devant cette porte a deux battant, il perdit connaissance…
-Chapitre 2-
- Un peuple céleste.-
- Un peuple céleste.-
Le lendemain, Céréwïn décida de retourner à cette étrange grotte afin de trouver une réponse a ce crie, il emporta avec lui le vieux parchemin qu’il mit dans sa poche.
Il appela Célégorm, Ludy, Bélian et Angy, puis ensemble Ils y retournèrent.
Ils prirent la décision d’aller voir avant Niky, le vendeur du village.
Ils lui racontèrent l’histoire, et ils lui demandèrent s’il n’avait pas quelques objets pour se défendre dans l’arrière boutique au cas où. Niky ramena quelques armes et un bâton. Puis il annonça :
- Je ne sais pas si sa vous aidera mais c’est tout ce que j’ai !
Bélian prit le bâton et prononça une phrase dans une langue inconnue.
Soudain, une colombe apparue.
- C’est trop cool ! Répondue Céréwïn ébahi.
- Mais en quelle langue t’exprimes-tu ? Je ne connais pas cette langue ! S’exclama Ludy.
- Et bien il s’agit d’une vieille langue elfique, mais je ne connais que les formules de pouvoir, je suis incapable de vous traduire un texte.
- Oui en gros tu ne sers pas à grand-chose ! Répondit Célégorm d’un air amusé.
- Non je plaisante bien entendu.
- Ah ah c’est trop marrant, fit Angy d’un air moqueur.
- Oh ça va, ce n’est que de la plaisanterie… répondit Célégorm.
- Bon, vous avez fini tous les deux ? demanda Céréwïn
- Tu sais ce qu’on dit, qui aime bien, châtie bien ! Répondit Angy amusée.
Céréwïn distribua une dague à Angy et il empoigna une épée dans ses mains.
Célégorm contempla une deuxième épée avant de s’écrier.
- En garde !
Céréwïn surpris se retourna et se mit en position. Il frappa dans l’épée de Célégorm et ce dernier fit de même.
- C’est tout ce que tu sais faire ?!
- Tais-toi et attaque petit soldat !
- Je vais te montrer si je suis un petit soldat !
Célégorm brandis l’épée vers le ciel et dans un geste rapide il fit tomber l’épée de Céréwïn.
- Ah ah ! Te voilà à ma merci !
- Vous avez bientôt fini les enfants ? demanda Angy d’un ton narquois.
Aussitôt Céréwïn ramassa son épée et frappa celle de Célégorm, le choc fit valser cette dernière de l’autre côté de la pièce manquant de peu Ludy.
- Vous êtes des malades ! s’écria Ludy.
- Excuse-moi Ludy.
Céréwïn rangea son épée dans son fourreau et alla ramasser celle de Célégorm.
Ludy leva les yeux au ciel puis elle rallât un peu car elle n’avait rien pour elle, alors Niky lui donna une couronne et lui dit.
- Comme ça tu seras leur princesse, et ils devront te protéger.
- Ah oui ! Ca me plaît beaucoup ! Répondu Ludy en souriant.
- Et bien à ta place je ne serais pas rassurée ! fit Angy moqueuse.
- Nianiania ! Rallât Céréwïn.
- Je me suis excusé c’est bon.
- Mais oui chevalier, tu es pardonné. Répondit Ludy souriante. Mais maintenant tu es à mon service.
Céréwïn souffla de désespoir.
Angy eu une idée.
- Tiens ! Il faudrait peut être prendre de quoi nous nourrir on ne sait jamais?
- Oui ! Tu a raison ! S’exclama Ludy
Alors Niky alla chercher des sacs, qu’il remplit de nourritures.
Une heure passa, lorsqu’ils partirent pour l’aventure, ils avaient dit à leurs parents, qu’ils dormiraient chez les uns et les autres.
Puis ils se rendirent devant la grotte.
Bélian enleva le rocher qui avait étrangement rebouché l’entrée, puis ils rentrèrent à l’intérieur.
Ils avancèrent prudemment, la pièce ornée de jaune avait disparue. Ils passèrent une embouchure, et tombèrent devant un genre de labyrinthe. Il était fait entièrement de pierre avec des chemins qui partaient dans tous les sens.
Une phrase gravée sur un mur mise en garde nos amis en leur disant qu’ils pénétraient un endroit interdit, mais nos amis n’y prêtèrent pas attention. Ils continuèrent à avancer quand ils entendirent des bruits assourdissants. Derrière eux, chaque fois qu’ils faisaient un pas, le passage se refermait.
- Vite ! Vite ! Les pressa Angy
Ils coururent à toute vitesse, puis une lumière aveuglante les éblouis et ils tombèrent dans un sommeil profond…
Quand Céréwïn se réveilla, il était dans une étrange pièce.
Elle était toute blanche, cette couleur lui donnait mal à la tête tellement qu’elle était lumineuse, il y avait d’étranges bougies soutenues par des socles en forme de cercle qui éclairaient cette pièce, la porte semblait être en bois, et les murs en pierre.
Il se leva du lit sur lequel il reposait et constata qu’il était seul. Il essaya d’ouvrir la porte, mais en vain, elle était impossible à ouvrir même la poigné tournait dans le vide.
Il chercha son épée qu’il n’avait plus en sa possession, il commença à s’inquiéter.
Quand soudain, il entendit des pas qui semblaient venir de l’extérieur, il demanda qui était là mais aucune réponse, puis il entendit comme un bruit de clés, et la serrure tourna, quand la porte s’ouvrit, il vit une étrange bête.
Elle était grande, habillée d’une sorte de robe de couleur argentée, elle avait de grandes oreilles qui pendaient mais semblait gentille. La bête prononça ces quelques mots dans une langue de châtelain.
- Voulez-vous bien me suivre monsieur, madame la reine vous attend.
De quelle reine voulait-elle parler ? Il s’assommait de questions, quand la bête fit un mouvement en forme de cercle de sa main droite, puis une sorte de flash fut envoyé dans les yeux de Céréwïn, et toutes ses questions disparurent, alors la bête annonça :
- N’essayez pas de vous questionner, je n’ai pas le droit de vous répondre, la reine s’en chargera, à présent veuillez bien me suivre s’il vous plaît.
Elle lui tendit sa main, et Céréwïn suivi cette chose, à travers d’immenses couloirs.
Ils étaient larges, hauts, et il y avait une porte à peu prés tous les cinq mètres, avec des chiffres pairs d’un côté et impairs de l’autre, le couloir était très lumineux et le parcours très long. Lorsque, enfin, ils furent devant une immense porte blanche, avec des détails en or et en argent, c’était vraiment très beau, mais le chemin jusqu’ici avait un peu abruti Céréwïn, et devant cette porte a deux battant, il perdit connaissance…
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