Un seul jour à vivre
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Un seul jour à vivre
LECTURE TERMINÉE
SERVICE PRESSE
Titre Un seul jour à vivre
Auteure : Maryn Morgan
Éditeur : Auto-édition
Format papier
Résumé :
À la suite d'un événement dramatique, Elsa se retrouve plongée dans un profond désespoir. Une rencontre aussi étrange qu'inattendue va l'emmener à la découverte d'elle-même ; à la découverte du bonheur ; à la découverte de la vie.Elsa n'oubliera plus jamais qu'il n'existe qu'un seul jour à vivre : aujourd'hui.
Note : 18/20
Avis :
Je remercie l'auteure pour ce service presse
Quand j’ai vu la couverture et le résumé, j’ai tout de suite eu envie le lire car je sentais qu‘il n’était pas comme les autres et je ne me suis pas tromper.
La plume de l’auteure est très agréable, aéré et addictive, une fois commencer, je ne l’ai plus lâcher.
Le thème de ce livre quand on commence à le lire est sur le deuil, la reconstruction et la découverte de son vrai soi.
J’aime la première citation avant d’entamer la lecture :
<>
Elsa, 25 ans, vendeuse dans le prêt-à-porter depuis 5 ans, notre héroïne veut oublier l’horreur du 23 Janvier 2016, tout son être n’est qu’une terre gelée, abandonnée, dévastée, et seul la colère la rend assez forte pour survivre à ce drame.
Andreas, 31 ans, son grand-frère dont elle est fière, le frère idéal est la personne qu’elle aime plus au monde. C’est un baroudeur passionné de voyages et de découvertes. Fou de musique, il pratique la guitare, se produit régulièrement dans des bars, salle de spectacles et des festivals.
Ce soir-là, Andreas l’invite à venir le voir jouer au bar, le Loco mais il y a eu un attentat, huit terroristes qui ont fait quarante-sept victimes dont Andreas. A partir de là, son monde s’écroule.
Ben, à une femme Léa et un fils Enzo dont Andreas est le parrain est gravement blessé, Lui qui d’ordinaire à les yeux rieurs, ils sont totalement vides, rongé par la culpabilité de celui qui survit, dévasté par la perte de ses proches.
Mélina, une amie d’Elsa est une femme formidable, drôle, toujours de bonne humeur qui essaye d’aider Elsa à se relever.
Slimane, un ami de son frère se rencontre est Elsa à l’impression que cette rencontre est une évidence, leur amitié se confirment et se renforcent chaque jour d’avantage et finalement on comprend pourquoi vers la fin du livre. Il a une femme Mathilde et une petite fille Inès.
Le père d’Elsa vie dans un centre pour malade de la maladie d’Alzheimer depuis presque 2 ans. Sa mère Hélène est partie quand elle avait 10 ans sans se retourner pour mener une vie de strass et paillettes à laquelle elle pense avoir droit. Slimane lui a était élever par ses grands-parents et on apprend son histoire plus tard.
Elsa fait de la peinture pour le plaisir mais pour Slimane elle n’est pas douée, elle était bien plus que ça.
« La magie du moment présent. Être en contact avec ce que tu es, et non plus avec ce que tu penses. »
Le soir du 21 Décembre 2007, Slimane apprends la mort de sa fille et de sa femme faucher par une voiture. La haine le transforme en quelqu’un qu’il ne reconnaissait pas. Il décide de tout vendre et pars avec son sac à dos.
Elsa souffre que son père ne se rappelle elle seulement par une vague impression familière.
« Aimer vraiment, c’est justement de pas savoir dire pourquoi, c’est ressentir quelque chose, au plus profond de notre cœur, de notre corps, sans explication. »
Elsa rencontre Matthias à la fête d’anniversaire de la cousine de Mélina et c’est le coup de foudre.
On apprend l’histoire de Slimane et je n’avais rien vu venir.
Elsa trouve deux médaillons qui appartiennent à son père et en les assemblant, elle ouvre les yeux et découvre la vérité. Elle se rends compte aussi que personne ne connait Slimane.
Je vais arrêter là. J’ai beaucoup aimé cette histoire ou l’on va de découverte en découverte.
Les plus :
Avant chaque chapitre, une citation qui correspond à l’histoire.
Les chapitres ne sont pas très long, grand maximum, cinq ou six pages
Le seul bémol :
J’aurais aimé sois de mettre une date ou un nom pour différencier le passer du présent.
Ce livre nous fais passer un très bon moment mais nous fais réfléchir sur le sens de la vie. Qu’au lieu de s’apitoyer sur nous-même et nos malheurs, nous perdons du temps au lieu de profiter du moment présent. L’auteure fais passer un magnifique message et j’avoue qu’en réfléchissant bien, je me suis dit que je perdais énormément de temps à me poser des tas de questions qui ne servent à rien, que certaines de nos réactions sont disproportionnées, qu’il faut savoir accepter certaines choses bonnes ou mauvaises et accepter pour vivre heureux et trouver la paix de notre âme.
SERVICE PRESSE
Titre Un seul jour à vivre
Auteure : Maryn Morgan
Éditeur : Auto-édition
Format papier
Résumé :
À la suite d'un événement dramatique, Elsa se retrouve plongée dans un profond désespoir. Une rencontre aussi étrange qu'inattendue va l'emmener à la découverte d'elle-même ; à la découverte du bonheur ; à la découverte de la vie.Elsa n'oubliera plus jamais qu'il n'existe qu'un seul jour à vivre : aujourd'hui.
Note : 18/20
Avis :
Je remercie l'auteure pour ce service presse
Quand j’ai vu la couverture et le résumé, j’ai tout de suite eu envie le lire car je sentais qu‘il n’était pas comme les autres et je ne me suis pas tromper.
La plume de l’auteure est très agréable, aéré et addictive, une fois commencer, je ne l’ai plus lâcher.
Le thème de ce livre quand on commence à le lire est sur le deuil, la reconstruction et la découverte de son vrai soi.
J’aime la première citation avant d’entamer la lecture :
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Elsa, 25 ans, vendeuse dans le prêt-à-porter depuis 5 ans, notre héroïne veut oublier l’horreur du 23 Janvier 2016, tout son être n’est qu’une terre gelée, abandonnée, dévastée, et seul la colère la rend assez forte pour survivre à ce drame.
Andreas, 31 ans, son grand-frère dont elle est fière, le frère idéal est la personne qu’elle aime plus au monde. C’est un baroudeur passionné de voyages et de découvertes. Fou de musique, il pratique la guitare, se produit régulièrement dans des bars, salle de spectacles et des festivals.
Ce soir-là, Andreas l’invite à venir le voir jouer au bar, le Loco mais il y a eu un attentat, huit terroristes qui ont fait quarante-sept victimes dont Andreas. A partir de là, son monde s’écroule.
Ben, à une femme Léa et un fils Enzo dont Andreas est le parrain est gravement blessé, Lui qui d’ordinaire à les yeux rieurs, ils sont totalement vides, rongé par la culpabilité de celui qui survit, dévasté par la perte de ses proches.
Mélina, une amie d’Elsa est une femme formidable, drôle, toujours de bonne humeur qui essaye d’aider Elsa à se relever.
Slimane, un ami de son frère se rencontre est Elsa à l’impression que cette rencontre est une évidence, leur amitié se confirment et se renforcent chaque jour d’avantage et finalement on comprend pourquoi vers la fin du livre. Il a une femme Mathilde et une petite fille Inès.
Le père d’Elsa vie dans un centre pour malade de la maladie d’Alzheimer depuis presque 2 ans. Sa mère Hélène est partie quand elle avait 10 ans sans se retourner pour mener une vie de strass et paillettes à laquelle elle pense avoir droit. Slimane lui a était élever par ses grands-parents et on apprend son histoire plus tard.
Elsa fait de la peinture pour le plaisir mais pour Slimane elle n’est pas douée, elle était bien plus que ça.
« La magie du moment présent. Être en contact avec ce que tu es, et non plus avec ce que tu penses. »
Le soir du 21 Décembre 2007, Slimane apprends la mort de sa fille et de sa femme faucher par une voiture. La haine le transforme en quelqu’un qu’il ne reconnaissait pas. Il décide de tout vendre et pars avec son sac à dos.
Elsa souffre que son père ne se rappelle elle seulement par une vague impression familière.
« Aimer vraiment, c’est justement de pas savoir dire pourquoi, c’est ressentir quelque chose, au plus profond de notre cœur, de notre corps, sans explication. »
Elsa rencontre Matthias à la fête d’anniversaire de la cousine de Mélina et c’est le coup de foudre.
On apprend l’histoire de Slimane et je n’avais rien vu venir.
Elsa trouve deux médaillons qui appartiennent à son père et en les assemblant, elle ouvre les yeux et découvre la vérité. Elle se rends compte aussi que personne ne connait Slimane.
Je vais arrêter là. J’ai beaucoup aimé cette histoire ou l’on va de découverte en découverte.
Les plus :
Avant chaque chapitre, une citation qui correspond à l’histoire.
Les chapitres ne sont pas très long, grand maximum, cinq ou six pages
Le seul bémol :
J’aurais aimé sois de mettre une date ou un nom pour différencier le passer du présent.
Ce livre nous fais passer un très bon moment mais nous fais réfléchir sur le sens de la vie. Qu’au lieu de s’apitoyer sur nous-même et nos malheurs, nous perdons du temps au lieu de profiter du moment présent. L’auteure fais passer un magnifique message et j’avoue qu’en réfléchissant bien, je me suis dit que je perdais énormément de temps à me poser des tas de questions qui ne servent à rien, que certaines de nos réactions sont disproportionnées, qu’il faut savoir accepter certaines choses bonnes ou mauvaises et accepter pour vivre heureux et trouver la paix de notre âme.
Tant qu'il y a de la vie, il y a de l'espoir.
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