Toute la violence des hommes
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Toute la violence des hommes
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Résumé :
Une jeune femme est retrouvée dans son appartement bruxellois, tuée de plusieurs coups de couteau. Tout accuse Nikola Stankovic, artiste marginal, dernière personne que la victime a appelée avant sa mort. Il apparaît sur les caméras de surveillance juste après le meurtre, la police retrouve ses vêtements maculés de sang et découvre des croquis de la scène de crime dans son atelier. Sous ses airs d’enfant perdu, Niko est un graffeur de génie que la presse a surnommé le Funambule après l’apparition d’une série de fresques anonymes ultra-violentes dans les rues de la capitale. Muré dans le silence, sous surveillance psychiatrique, le jeune homme nie tout en bloc. Pour seule ligne de défense, il ne répète qu’une phrase : « c’est pas moi ».
Avis :
Je remercie les éditions HC et l’auteur pour ce service presse. J’avais lu «Un jour comme les autres» de cet auteur que j’avais beaucoup aimer.
Les plus :
Bémol :
«Le silence peut aussi être une arme. Il masque les mensonges les aveux et les trahisons»
Nous rencontrons Nikola Stankovic qui un gaffeur de génie et peintre fantastique qui subit un interrogatoire car il est la dernière personne a avoir vu la victime vivante, Son avocat et la directrice de défense sociale,n’osent croire à sa culpabilité mais ils sont perturber par son silence et c’est simple mot «c’est pas moi».Tout commence le 5 mars 2018, quand on découvre le cadavre d’une femme morte de plusieurs coups de couteau, elle se livrer à la prostitution de manière sporadique.
Nikola est accusé d’être «Le funambule», cette personne qui faisait des fresques géantes sur les murs qui sont choquante par son érotisme ou sa brutalité qui fait références à des œuvres célèbres. A travers le passé de Niko, on sait qu’il a subit la guerre Serbo-croate alors qu’il n’était qu’un enfant de 8 ans et qu’il en est sorti avec des traumatismes qu’aucun enfants n’aurais dû subir ou voir, il a aussi une mémoire photographique et c’est à ce moment là qu’il commence à griffonner sur les murs. Nous suivons toute cette guerre depuis le début et on comprends d’où viens un certain traumatisme,
«Pour réussir un tel exploit, il faut être un artiste accompli doublé d’un acrobate hors paire...L’auteur de ses frasques est un génie ou un fou. Ou un peu des deux...»
L’auteur nous laisse des indices un peu partout pour essayer de comprendre et de démêler le vrai du faux. Toutes les fresques sont toutes liés les unes aux autres et qu’elles racontent une histoire. Ce livre est intrigant, on se pose des tas de questions, on mène l’enquête, on imagine des scénarios, essayer de comprendre les indices laisser pari ci par la, que cache Niko et pourquoi ? Depuis qu’il est enfant, il n’exprime pas ses sentiments.
«J’étais là mais c’est pas moi», cette phrase qui dit ou et rien à la fois. Quel est son rôle dans le meurtre ? Témoin, complice, connaît-il l’assassin ? Cette histoire à l’air simple en apparence mais pas du tout. Au départ, on ne fais pas attention aux indices mais plus on en apprend, sois par le passé de Nikola sois par l’enquête que tout est lié. Une histoire touchante d’un homme qui a étais traumatiser et survécu à la guerre de son pays. Un homme troublant et doux que ses peintures permet exorciser ses démons qui m’a ému par son silence, sa douleur et ses pleurs. Un excellent moment de lecture qui m’a emporter par la justesse des mots qui ne tombe pas dans le patho.
Je fini sur ses mots : La violence des hommes éclaboussait les siècles. Leur cruauté était sans limites. Les temps de paix n’étaient que de brefs intervalles entre les guerres, les génocides et les massacres.
Date de publication : Mercredi 4 Mars 2020
Résumé :
Une jeune femme est retrouvée dans son appartement bruxellois, tuée de plusieurs coups de couteau. Tout accuse Nikola Stankovic, artiste marginal, dernière personne que la victime a appelée avant sa mort. Il apparaît sur les caméras de surveillance juste après le meurtre, la police retrouve ses vêtements maculés de sang et découvre des croquis de la scène de crime dans son atelier. Sous ses airs d’enfant perdu, Niko est un graffeur de génie que la presse a surnommé le Funambule après l’apparition d’une série de fresques anonymes ultra-violentes dans les rues de la capitale. Muré dans le silence, sous surveillance psychiatrique, le jeune homme nie tout en bloc. Pour seule ligne de défense, il ne répète qu’une phrase : « c’est pas moi ».
Avis :
Je remercie les éditions HC et l’auteur pour ce service presse. J’avais lu «Un jour comme les autres» de cet auteur que j’avais beaucoup aimer.
Les plus :
- Écriture différente pour les articles de journaux.
- A la fin du livre, on trouve l’interview de l’auteur et certaines de ses fresques
- Les chapitres sont cours
Bémol :
- Il aura fallu pour différencier le passé et le présent d’une écriture différente ou une date même si cela n’a pas gêner ma lecture.
«Le silence peut aussi être une arme. Il masque les mensonges les aveux et les trahisons»
Nous rencontrons Nikola Stankovic qui un gaffeur de génie et peintre fantastique qui subit un interrogatoire car il est la dernière personne a avoir vu la victime vivante, Son avocat et la directrice de défense sociale,n’osent croire à sa culpabilité mais ils sont perturber par son silence et c’est simple mot «c’est pas moi».Tout commence le 5 mars 2018, quand on découvre le cadavre d’une femme morte de plusieurs coups de couteau, elle se livrer à la prostitution de manière sporadique.
Nikola est accusé d’être «Le funambule», cette personne qui faisait des fresques géantes sur les murs qui sont choquante par son érotisme ou sa brutalité qui fait références à des œuvres célèbres. A travers le passé de Niko, on sait qu’il a subit la guerre Serbo-croate alors qu’il n’était qu’un enfant de 8 ans et qu’il en est sorti avec des traumatismes qu’aucun enfants n’aurais dû subir ou voir, il a aussi une mémoire photographique et c’est à ce moment là qu’il commence à griffonner sur les murs. Nous suivons toute cette guerre depuis le début et on comprends d’où viens un certain traumatisme,
«Pour réussir un tel exploit, il faut être un artiste accompli doublé d’un acrobate hors paire...L’auteur de ses frasques est un génie ou un fou. Ou un peu des deux...»
L’auteur nous laisse des indices un peu partout pour essayer de comprendre et de démêler le vrai du faux. Toutes les fresques sont toutes liés les unes aux autres et qu’elles racontent une histoire. Ce livre est intrigant, on se pose des tas de questions, on mène l’enquête, on imagine des scénarios, essayer de comprendre les indices laisser pari ci par la, que cache Niko et pourquoi ? Depuis qu’il est enfant, il n’exprime pas ses sentiments.
«J’étais là mais c’est pas moi», cette phrase qui dit ou et rien à la fois. Quel est son rôle dans le meurtre ? Témoin, complice, connaît-il l’assassin ? Cette histoire à l’air simple en apparence mais pas du tout. Au départ, on ne fais pas attention aux indices mais plus on en apprend, sois par le passé de Nikola sois par l’enquête que tout est lié. Une histoire touchante d’un homme qui a étais traumatiser et survécu à la guerre de son pays. Un homme troublant et doux que ses peintures permet exorciser ses démons qui m’a ému par son silence, sa douleur et ses pleurs. Un excellent moment de lecture qui m’a emporter par la justesse des mots qui ne tombe pas dans le patho.
Je fini sur ses mots : La violence des hommes éclaboussait les siècles. Leur cruauté était sans limites. Les temps de paix n’étaient que de brefs intervalles entre les guerres, les génocides et les massacres.
Tant qu'il y a de la vie, il y a de l'espoir.
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