Je tiendrai ma vie entre mes mains

Sortie le 2 avril 2021 chez Evidence éditions dans la collection Vénus.
Résumé :
L’année de ses vingt-huit ans, Alice Marlier est certaine de ne jamais l’oublier.
Emma, sa meilleure amie, atteinte d’une maladie, vient de mourir. Alice est dévastée par la douleur et le manque de sa moitié. Mais la défunte avait tout prévu et lui avait confié un carnet avec une liste de dernières volontés à exaucer.
Par amitié, Alice accepte le défi sans en connaître les détails, loin d’imaginer que ce simple cahier va bouleverser l’ensemble de son existence.
La presque trentenaire va se retrouver contrainte de tout plaquer et sa nouvelle vie démarre en trombe par une malencontreuse prise de bec avec Hugo Ventini, alias « le colosse de pacotille ».
Deux personnes qu’en apparence tout oppose se retrouveront malgré elles prises au piège dans l’accomplissement de cette liste.
Et si cette dernière remettait tout en question ?
 
Avis :
Je remercie l’auteure Andraroc et Evidence éditions.
 
J’ai eu un coup de cœur énorme pour cette histoire.
 
Tout commence avec Emma qui fais l’éloge funèbre de sa meilleure amie Alice, connu au jardin d’enfance qui est décédée d’une maladie. Elles étaient la moitié de l’autre, une amitié comme on voie peu, fusionnelle, toujours présente l’une pour l’autre, quelques sois les circonstances.
 
         « Tu n’es plus ma moitié, tu es mon ange gardien dorénavant »
 
Alice découvre que Emma lui à laisser des défis ou une lettre ira avec chaque instructions que vous découvrirais et certaines m’ont donné des sueurs froides. Mais Alice devra les faire pour ELLE et non pour faire plaisir à Emma et on comprends le titre du livre. Alice va quitter sa famille, son travail pour une autre destination (il y a une raison), l’Italie, à Vérone. Cliché de Roméo et Juliette ? Pas du tout, loin de là ! Elle va vivre au cœur de la citadelle.
 
Elle rencontré Hugo 3 fois ou cela ne se passe pas très bien. Mais elle va se retrouver à travailler avec lui. Tout ne va pas se passer comme prévu.
 
Alice et Hugo traîne des casseroles très difficiles. Ils sont les pansement l’un de l’autre et sans le savoir ils s’aident à guérir. Ils portent tout les deux le deuil. Comment ont-ils fait pour continuer ?
 
Alice va à un moment donner dévoiler des secrets à ses parents qui vont les blesser et la soulager
 
Ce livre est un hymne à la vie, à l’amour, de deuil, l’espoir, de reconstructions, les personnages fond preuves d’une tels résilience que j’en sors ému. J’ai mis du temps avant de pouvoir lire un autre livre. Ce livre m’a fais ressentir tellement d’émotions, j’ai eu les larmes aux yeux. Andraroc a le don de me transporter dans son monde et me toucher.
 
Ce livre parle à tout le monde. Je ne vous en dit pas trop car ce livre doit être lu pour en prendre toute l’étendu des émotions que l’on prend en pleine tête, on ressens de l’empathie pour tous les personnages.
 
Ce livre fait du bien, nous fait comprendre qu’il y a toujours de l’espoir, que même au plus bas, il y aura toujours quelqu’un pour nous donner la mains.
 
Je vous conseil de lire ce livre que j’ai adoré lire, Andraroc a une écriture qui vous transporte loin en vous-même, faites-vous votre avis.

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